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11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 16:38

Gif animé Bonjour gratuit

quelle honte mais il fallait s'y attendre , il nous rabattent les oreilles de ben laden ,terroriste etc.

QUI CROIT ENCORE A LA THESE OFFICIELLE ?

AU VU DES NOMBREUSES PREUVES ET INFORMATIONS DONT NOUS DISPOSONS DEPUIS CES DIX DERNIERES ANNEES , SEUL DEUX SOLUTIONS SONT POSSIBLES , SOIT LES ETATS UNIS ou DU MOINS CERTAINS SERVICES SECRET SONT DERRIERE L'ENSEMBLE DES ATTENTATS? SOIT ILS LES ONT FACILITES ,   MAIS DANS CE CAS ONT NE PEUT PAS EXPLIQUER L'IMPLOSION DES TOURS ? DONC LE PLUS PROBABLE EST QU'ILS ONT MONTE TOUTE CETTE AFFAIRE ET ASSASSINE DES MILLIERS DE PERSONNES DE LEUR PROPRE PAYS? NOUS SAVONS  QUE POUR PEARL HARBOURG il est désormais absolument certain que Roosevelt, son cabinet et son état-major savaient parfaitement par qui, quand et comment Pearl Harbor allait être attaqué.  ILS ONT LAISSE FAIRE POUR QUE LA POPULATION AMERICAINE ACCEPTE ENFIN L'ENTRÉE EN GUERRE DES USA QUI ALLER RAPORTER TRES GROS A CERTAINS!

 A écouter les discours officiels, les 2752 victimes de 54 nationalités des attentats du 11 septembre 2001 se substituèrent instantanément aux 2476 victimes américaines de l’attaque japonaise. (°) Les politiciens et économistes néo-conservateurs auteurs du projet PNAC devaient exulter sous cape : ils avaient enfin leur “Nouveau Pearl Harbor“. Paul Wolfowitz, dans un discours prémonitoire et glaçant aux cadets de West Point à l’occasion de la sortie du film le 6 juin 2001,  souligna à l’excès la surprise de Pearl Harbor. (°°) Mais le coup de génie des néo-conservateurs, est bien d’avoir su parfaitement instrumenter une attente totalement irréelle au départ, qui n’en devint que plus réelle à l’arrivée, gonflée de ce passé mythique. Le 11 septembre 2001, c’est en fait un véritable “don d’Allah” – Dieu est unique, n’est-ce-pas ? – qui vint en quelque sorte ”exaucer les voeux pieux” des néo-conservateurs.  La messe oecuménique du 14 septembre à la Cathédrale de Washington où Bush le born again lu un sermon (répertorié sur le site officiel de Pearl Harbor) aux côtés de 4 prélats ne fit qu’entériner un scénario pré-sacralisé, dont nous avons tant de mal aujourd’hui à nous défaire sans impression de parjure. Pourtant, depuis cette messe, Abdul Rahman al Amoudi, qui représentait la religion musulmane lors de cette cérémonie oecuménique, a été jugé pour financement du terrorisme et fraude fiscale! D’ailleurs, pour relativiser encore un peu plus  la grandeur de ces instants désormais sacrés (non, nous ne sommes pas dans un remake du “Parrain”), rappelons que l’équipe des néo-conservateurs fut portée au pouvoir dans le sillage de l’élection – surprenante – de Bush 43, devenu Président avec l’aide bienveillante des “versatiles” machines à voter DIEBOLD, et des “versatiles” juges de la Cour suprême des Etats-Unis d’Amérique, qui là aussi intercédèrent “auprès d’Allah” – ou un autre Dieu unique de votre choix - pour rendre leur verdict “présidentiel”.  Et dès le  20 septembre 2001 devant le Congrès, George Bush 43 assenait au peuple “américano-mondialisé” que la patrie venait de connaître son “nouveau Pearl Harbor“. Désormais, il allait falloir être “avec nous, ou avec les terroristes

(les signes du temps 7 décembre 1941, Pearl Harbor : là aussi la vérité progresse)

 

n'oublions pas l'assassinat du commandant massoud le 09/09/2001 , pourquoi cet assassinat et surtout qui l'a commandité?

Massoud critiquait donc souvent l'aide que les Américains apportaient aux taliban via le Pakistan. Il avait beau les alerter contre de possibles attaques par des terroristes dirigés par le dénommé Ben Laden, ceux-ci n'y prêtaient pas attention. Les journalistes américains ne daignaient pas non plus l'interviewer. Et sans doute n'était-ce pas seulement parce qu'il ne parlait pas l'angliche, mais parce qu'il ne montrait pas pâte blanche aux grands industriels qui financent la plupart des média. Nous ne saurions dire, en l'état actuel qui des services américains ou pakistanais ont pu fournir les hommes ou le matériel relativement sophistiqué pour l'assassiner, ou à qui les services pakistanais ont fourni leur aide : Américains ou taliban. Mais une chose est pratiquement sûre, invoquer Al-Qaida pour tout et n'importe quoi permet aux Américains de faire oublier la façon dont ils ont lutté pour placer leurs marionnettes à la tête de l'Afghanistan. Xymphora notait cette coïncidence : un autre dirigeant afghan avait été assassiné après le 11 Septembre, après avoir contacté l'américain Robert 'Bud' McFarlane !


les preuves


 

 

ou

 

alors! ils commémorent quoi? le plus grand mensonge du siècle,le plus grand assassinat d'etat de tous les temps? ou l'extrême crédulité du public? peut être tous ça à la fois, ce qui prouve leur domination sur les masses

 

 

UNE AUTRE QUESTION SE POSE , pourquoi toutes ces tueries?

bien sur le contrôle des matières premières  de la région

sur fond de guerre d'influence entre les USA et leurs alliés et les russes et chinois d'un autre

un petit rappel de la géopolitique du pétrole moteur de nos économies Géopolitique du pétrole

Rivalités ethniques et religieuses, jeu des puissances en Afghanistan le monde diplo 1996  Avec les talibans, la charia plus le gazoduc, par Olivier Roy (Le ...

REVENONS à nos moutons ou à nos rapaces plutôt le véritable enjeu en afganistan consiste à instaurer une stabilité politique et économique de long terme dans un pays dont l’emplacement très stratégique, a jusqu’à présent attiré plus de troubles que de bienfaits à une population lassée par la guerre. Parmi les grands projets visant à favoriser le développement de l’Afghanistan, l’idée d’en faire un corridor énergétique reliant les vastes réserves d’hydrocarbures d’Asie Centrale aux marchés dynamiques du sous-continent indien revient de manière récurrente depuis plus de quinze ans.

Le corridor énergétique afghan est envisagé pour la première fois au lendemain de l’effondrement de l’Union Soviétique, lorsque les compagnies pétrolières occidentales commencent à prendre pied autour de la mer caspienne. Une fois les premiers contrats signés avec les autorités azéries, kazakhes, et turkmènes, le principal problème qui se pose est celui de l’évacuation de la production centrasiatique vers les marchés mondiaux. L’Asie Centrale est en effet une région particulièrement enclavée, et le réseau de gazoducs et d’oléoducs construits par les soviétiques est entièrement tourné vers la Russie, ce qui place les Etats nés de la décomposition de l’URSS dans une situation de dépendance totale vis-à-vis de Moscou.

La plupart des compagnies occidentales concentrent leurs efforts sur l’axe Est-Ouest, pour atteindre les marchés européens via la Transcaucasie puis la Turquie, malgré la longueur et les nombreux obstacles techniques et juridiques découlant du nombre important de pays à traverser. La première à regarder de l’autre côté est la compagnie américaine Unocal, qui s’engage dès 1993 dans des négociations avec le Turkménistan pour ouvrir une route vers le Pakistan à travers l’Afghanistan. C’est ainsi que naît le TAP (Trans Afghanistan Pipeline). Habitués à traiter avec des régimes politiques imprévisibles, les dirigeants d’Unocal offrent leur soutien aux Talibans dans un Afghanistan en pleine guerre civile, et négocient avec ces derniers par l’intermédiaire de la société américano-saoudienne Delta Petroleum, dont les liens supposés avec la CIA et les services de renseignement du royaume saoudien n’ont jusqu’à ce jour jamais été ni prouvés ni démentis. Il existe alors une convergence d’intérêts de facto entre tous ces acteurs désireux de stabiliser le pays, d’y contenir l’influence iranienne, et de désenclaver l’Asie Centrale par le sud. Les tergiversations du président turkmène Saparmurat Nyazov et le climat de paranoïa régnant à Ashgâbâd mettent à plusieurs reprises les négociations en péril. La concurrence de la société argentine Bridas, dont le président Carlos Bulgheroni a su nouer une relation de confiance avec le couple Butho au Pakistan, et négocier de manière souvent plus habile que les Américains avec les différentes factions en présence en Afghanistan menace également le projet. La prise de Kabul en septembre 1996 et l’instauration du pouvoir taliban sur la plus grande partie du pays semblent pourtant annoncer le succès de la stratégie d’Unocal. Mais très vite, les révélations par la presse américaine des pratiques auxquelles se livre le nouveau régime et les réactions qu’elles suscitent dans l’opinion obligent Washington à prendre ses distances avec Kabul et à retirer son soutien au projet de gazoduc transafghan. Celui-ci est officiellement abandonné par Unocal en 1998.

Après les attentats de septembre 2001 et le déclenchement de l’opération militaire américaine en Afghanistan, l’effondrement du régime taliban et l’arrivée au pouvoir du président Hamid Karzai (un temps employé comme consultant par Unocal) remettent le TAP Line au goût du jour. Le projet s’inscrit désormais dans une stratégie de "reconstruction" de l’Afghanistan. Il est soutenu non seulement par les Etats-Unis, mais également par la Banque Asiatique de Développement (ABD) qui s’engage à en financer une partie. En mai 2002, les chefs d’Etat d’Afghanistan, du Pakistan, et du Turkménistan se réunissent à Islamabad pour annoncer le redémarrage officiel du projet. Une nouvelle étude de faisabilité technique est commanditée par la Banque. Le gazoduc planifié relierait le champ gazier de Dauletâbâd, dans le Sud Est du Turkménistan à la ville de Multan dans l’est du Pakistan, en passant par Kandahar, Herat, Quetta, et avec la possibilité d’être prolongé vers l’Inde. Il acheminerait ainsi 30 bcm (milliards de mètres cube) de gaz naturel par an sur une distance de 1700 km. Son coût est à l’époque évalué à 3.3 Md $, et sa mise en service envisagée dans un délai de cinq ans.

Plusieurs éléments viennent cependant ralentir le développement du projet. Le tracé du pipe traverse le Sud Ouest de l’Afghanistan, bastion des Talibans, et région la plus rétive à l’autorité du nouveau pouvoir installé à Kabul. De plus, des doutes sérieux portent sur la capacité du Turkménistan à produire suffisamment de gaz pour satisfaire sa consommation interne, honorer ses engagements envers la Russie, qui achète 80% de son gaz, et alimenter ensuite le TAP Line. A plusieurs reprises, Ashgâbâd refuse de fournir les certifications concernant l’ampleur de ses réserves qu’Islamabad exige pour investir plus avant dans le projet. Les autorités turkmènes s’engagent qui plus est dans des négociations avec Pékin, qui vont aboutir au lancement de travaux pour la construction d’un gazoduc reliant le Turkménistan au Nord Est de la Chine. Dans la même période, des avancées notables se produisent du côté de l’axe Est-Ouest, qui incitent les puissances occidentales à relativiser l’importance du corridor afghan.

En 2001, l’oléoduc CPC (Caspian Pipeline Consortium) qui relie le gisement kazakh de Tengiz au port russe de Novorossiisk sur la mer noire est inauguré. S’il ne contourne pas le territoire russe, ce tuyau appartient à un consortium privé. C’est donc la première voie d’exportation des hydrocarbures centrasiatiques qui échappe au monopole de Moscou. Les accords qui aboutissent à la construction puis à l’ouverture de l’oléoduc BTC (Baku Tilissi Ceyhan) en 2006 et du gazoduc SCP (South Caucasus Pipeline, ou Baku Tbilissi Erzurum) en 2007 sont aussi deux avancées qui rendent moins abstraite l’idée d’acheminer les productions de la rive Est de la Caspienne vers la méditerranée ou les marchés européens. Il ne reste en effet désormais "plus qu’à" trouver une solution de franchissement ou de contournement de la mer Caspienne. Pour toutes ces raisons, et étant donné l’insécurité qui persiste dans le pays, l’idée d’un corridor énergétique afghan passe à nouveau progressivement au second plan.

L’année 2008 marque un nouveau départ pour le TAP Line, qu’il convient désormais d’appeler TAPI (pour Turkménistan-Afghanistan-Pakistan-Inde). En avril 2008, la visite d’une importante délégation indienne au Turkménistan se solde par la signature d’un Memorandum of Understanding concernant la coopération énergétique entre les deux pays. L’accord porte sur l’exploration de zones offshore en mer Caspienne, sur des projets d’investissements dans l’aval pétrolier et gazier, et annonce surtout le ralliement de l’Inde au projet de gazoduc transafghan. Ce dernier s’en trouve rapidement relancé, comme l’indique la tenue de plusieurs réunions au mois de juin, au cours desquelles le coût et les délais de réalisation du projet sont révisés. Les travaux doivent démarrer en 2010 et on parle désormais d’une mise en service en 2018, pour un coût total de 7.6 Md$.  L'Afghanistan : futur corridor énergétique ? - La Revue de Téhéran ..

Les intérêts occidentaux
Le Tapi, donc, ne servira pas pour approvisionner les marchés énergétiques occidentaux, comme avait été prévu dans le projet initial de la compagnie pétrolière californienne Unocal, lequel n’incluait pas l’Inde, mais prévoyait  la fin du parcours du gaz au port pakistanais de Gwadar, sur la mer Arabique, d’où ensuite il aurait été transporté par bateau.

Pourtant les compagnies occidentales vont en gagner tout de même, en participant à la construction et à la gestion du gazoduc, jusqu’à présent sponsorisé par la Banque asiatique de développement (Bad ou Adb – Asian Development Bank – en anglais), institut financier international contrôlé par les Etats-Unis et le Japon.
Le coût de réalisation a été calculé en environ 8 milliards de dollars américains.

L’Italie à la guerre pour l’Eni ?
Probable la participation de l’italienne Eni, pas seulement parce que la compagnie de Paolo Scaroni est déjà le principal partenaire énergétique occidental du Turkménistan pour le développement de ses gisements, mais aussi parce grande partie du tronçon afghan devrait passer dans le territoire sous contrôle militaire italien : la province occidentale de Herat. Voilà que l’engagement italien en Afghanistan montre un but non différent de celui made in USA : le contrôle (et la gestion) des ressources énergétiques.

Condition nécessaire à la construction et au fonctionnement en sécurité de la partie afghane du Tapi est l’absence de la menace armée des talibans. Toutefois ceci sera possible seulement si et quand les talibans seront formellement retournés au pouvoir, si non à Kabul, au moins dans les provinces pashtouns – hypothèse, celle-ci, toujours plus à la mode à Washington.

 

IPI ou le « pipeline de la paix » verra-t-il le jour ?  Projet de gazoduc Iran-Pakistan-Inde: Téhéran tend la main à la ...

ce que veut Islamabad pour l’Afghanistan est le retour des talibans- comme au bon vieux temps de 1996-2001. C’est le contraire de ce que veut Washington ; une occupation de long terme, de préférence par l’OTAN, de façon à ce que l’alliance puisse protéger le gazoduc TAPI, s’il est jamais construit. De plus- du point de vue de la doctrine du Pentagone de la suprématie totale, il est impensable pour Washington de perdre son réseau clé de bases militaires afghanes si proches de la Chine comme de la Russie.

Ce qui se passe en ce moment est une guerre de positions compliquée. La politique afghane du Pakistan- qui implique aussi de contenir l’influence indienne en Afghanistan- ne changera pas. Les talibans afghans continueront d’être encouragés comme de potentiels alliés de long terme- au nom de la doctrine inamovible de la « profondeur stratégique » [strategic depth]- et l’Inde continuera d’être regardée comme une priorité stratégique.

Ce que l’IP fera c’est juste d’enhardir encore plus Islamabad- avec à la fin la transformation du Pakistan en un couloir clé pour le transport du gaz iranien et utilisant par ailleurs le gaz pour ses propres besoins. Si l’Inde se décide finalement contre l’IPI, la Chine est prête à entrer dans le jeu- et à construire une extension de l’IP, parallèle à l’autoroute de Karakoram et allant jusqu’à Xinjiang.

Dans tous les cas, le Pakistan gagne- en particulier avec l’augmentation des investissements chinois. Ou avec une « aide » militaire chinoise. C’est pourquoi la « suspension » des fonds de l’armée pakistanaise par Washington n’est pas vouée à trop titiller Islamabad.

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