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avant propos  vidéos pour mieux comprendre:

  Aux états unis: Le 22 novembre de l’année 1910 les Morgan, les Rothschild, les Warburg et les Rockefeller.ou leurs représentants s’installèrent autour d’une table  sur l’île Jekyll et neuf jours durant, dans le plus grand secret, ils mirent au point et rédigèrent minutieusement le règlement de ce qui allait devenir le Système de la Reserve Fédérale.était née la « finance de marché », l’ »ingénierie financière de Wall Street » la« non-coïncidence de l’intérêt des parties », de « dysfonctionnements structurels de la finance dérégulée » du « rôle des monnaies », comme si les opérations financières étaient mues par un petit moteur intérieur, se déroulaient dans la stratosphère et n’étaient pas connectés à  la politique des Etats.Aux sources de l’escroquerie de la Réserve Fédérale -

  • En France en 1973 pompidou et giscard (ancien employés de la banque rothschild) organisaient en France le même dispositif en modifiant l'organisation de la Banque de France et en affaiblissant les droits du Trésor Public par rapport à celle-ci. L'article 25 interdit en effet au Trésor Public d'emprunter directement à la Banque de France à un taux d'intérêt faible ou nul (par création monétaire), comme il en avait jusqu'alors le droit
  • notre souveraineté monétaire était donné aux banquier, est ce un hasard si c'est ce même giscard qui nous a pondu le traité de Lisbonne que nous avons refusé et qu'ils nous ont imposé? , je ne le pense pas!!!

rappel :

Au milieu du XVIIe siècle, les orfèvres découvrent qu’ils peuvent prêter plus que les valeurs dont ils ont la garde. Ils deviennent des banquiers et sont à l’origine de la monnaie moderne.

Aujourd’hui, celle-ci est créée par les banques commerciales et non pas par l’État ou la Banque Centrale, comme certains le pensent encore.

Certes, cette création monétaire, qui n’est guère plus qu’une simple ligne d’écriture, a permis le développement de notre économie. Mais avec un important corollaire dont les effets négatifs sont souvent occultés : les intérêts, payés aussi bien par le secteur privé que par le secteur public.

Et ces intérêts sont une des causes principales des problèmes actuels de nos sociétés, car ils facilitent le transfert du peu de richesse des pauvres et des classes moyennes vers ceux qui sont déjà les plus riches.

André-Jacques Holbecq est un économiste citoyen qui analyse depuis des années notre système économique et financier. Il  nous montre, qu’au fond, les bases en sont fort simples. Encore faut-il mettre à la portée de tous ces petits secrets bien gardés.
Auteur à succès de plusieurs livres dont La Dette Publique : une affaire rentable, il récidive ici avec la même volonté et clarté.

Collection : Economie
ISBN : 978 2 913492 77 6
Prix public : 7.50 €

DISPONIBLE  Pour commander ce livre


DETTE FRANCAISE

 

 

 

 

 

LA CHARGE DE LA DETTE NOURRIT LA DETTE
La justification de ces affirmations est sur ce lien: http://monnaie.wikispaces.com/Arnaque/

  On peut montrer sous forme de graphiques en valeur et en parts de PIB, peut être plus parlant, l’évolution de la dette publique constatée et ce qu’elle serait devenue dans un système monétaire où la banque Centrale aurait pu « monétiser » directement (sans devoir passer par l’intermédiaire des banques commerciales pour ce faire ) les besoins de financement de l’État et des administrations publiques.

 


Extraits du livre de Maurice Allais (ed Clément Juglar 2007)

« La mondialisation, la destruction des emplois et de la croissance »

1974 ; UNE ANNÉE DE RUPTURE

L’année 1974 apparaît comme une année de rupture entre la période 1950-1974 de prospérité continue et la période 1974-1997 essentiellement marquée par une croissance massive du chômage, une diminution considérable des effectifs industriels, et une très forte réduction de la croissance.

La rupture de l’année 1974 peut être illustrée par quelques graphiques très significatifs représentant respectivement les évolutions de 1950 à 1997 du chômage au sens du BIT, du sous-emploi total (qui tient compte du traitement social du chômage), de leurs taux par rapport à la population active, des emplois dans l’industrie et de leur pourcentage dans la population active, et du produit intérieur brut réel global et par habitant.

La représentation correspond à la période 1950-1997 et à la situation telle qu’elle se constate au début de 1999 au regard des données statistiques effectivement disponibles.

On constate que les nouveaux points représentés en gras se placent effectivement au voisinage des tendances calculées en 1994 et correspondant à la période 1974-1993. Le plus souvent les nouveaux points se placent presque exactement sur les tendances calculées en 1994.

En fait, les tendances des périodes antérieure et postérieure à 1974 sont profondément différentes.

La période 1974-1997 est marquée par la destruction des emplois, la destruction de l’industrie, et la destruction de la croissance.

Le chômage au sens du BIT

Produit intérieur brut réel

Le Graphique XIII* représentent la population totale de la France de 1950 à 1997 et le Produit intérieur brut réel de 1950 à 1991 et de 1950 à 1997.

Le taux de croissance de la population totale a été de 0,96 % de 1950 à 1974, et il n’a été que de 0,49 % de 1974 à 1991. Ce taux a donc été marqué par une discontinuité très nette en 1974 en baisse d’environ 50 % .

La population totale est passée d’environ 41,6 millions en 1950 à 52,3 millions en 1974, à 56,9 millions en 1991, et à 58,5 millions en 1997.

L’origine de la discontinuité en 1974, qui ne se constate pas pour la population active, est purement démographique.

La discontinuité en 1974 est particulièrement marquée. De 1950 à 1974 le taux de croissance du PIB est de 4,9 %. De 1974 à 1991 il n’est plus que 2,3 %, en baisse de 2,6 %. Cette baisse est très forte et la discontinuité est spectaculaire.

 

Si la tendance constatée de 1950 à 1974 s’était maintenue au delà de 1974 le produit intérieur brut réel en 1991 aurait été de 57 % plus élevé 19.

Graphique XIII* – Produit intérieur brut réel 1950-1997

Si la croissance constatée de 1950 à 1974 s’était maintenue jusqu’en 1997, le PIB réel aurait été en 1997 de 84 % plus élevé 20.

On peut naturellement contester la possibilité d’une telle extrapolation, mais le fait est que de 1950 à 1974, soit pendant 24 ans la tendance de la croissance a été presque rigoureusement linéaire. Si la Cassure de 1974 ne s’était pas constatée, c’est-à-dire si les conditions existant avant 1974 s’étaient maintenues, comment pourrait-on donc contester que la tendance antérieure à 1974 ne se serait pas poursuivie.

Chômage français et chômage de l’Union Européenne

Le chômage qui se constate en France n’est pas spécial à la France. Il frappe tous les pays de l’Union Européenne.

Le Graphique VII montre en effet, de 1967 à 1994, un parallélisme total entre les taux de chômage standardisés au sens du BIT de la France et de l’ensemble de l’Europe des Douze. Il en est encore de même pour l’Europe des Quinze comme le montre le Graphique VIII. Ainsi, et contrairement aux affirmations de nombreux analystes, l’accroissement massif du chômage en France ne peut être considéré comme résultant d’effets qui lui seraient spécifiques.

La situation actuelle, économique et politique, de l’Union Européenne, comme celle de la France, est dominée par la question du chômage.

La tendance de fond de l’accroissement du chômage, pratiquement identique pour la France, l’Europe des Douze et l’Europe des Quinze, ne peut s’expliquer que par des facteurs communs à la France et à l’Union Européenne.

Cette tendance de fond n’a pas un caractère mondial, car dans la même période les « tigres asiatiques » ont connu une grande prospérité. Elle ne saurait non plus s’expliquer par le progrès technologique, car dans la même période le taux de chômage standardisé du Japon ne s’est élevé que de 1,3 à 2,2 %.

étude compléte:


CRISE POUR LES NULS

 

Agences de notations

Ce sont ces pourris qui avaient donné des bonnes « notes » à Lehman Brothers juste avant la chute… et juste avant la banqueroute de l’automne 2008.

Ils ont fermé les yeux sur Madoff pendant 40 ans.

Mais ils ont des critères inouïs : si les retraites sont pillées, ils vous classent « AAA », si la Sécurité sociale fonctionne, ils vous classent « BBB ».

Dans Le Monde du 19 mars 2010, l’Elysée de Sarkozy n’hésitait pas à affirmer :

« La France perdra toute influence si elle perd sa note AAA… C’est pour cela que la réforme des retraites sera de grande ampleur »… et on nous a volé deux années de retraite à 62 et à 67 ans.

Moody’s une de ces officines a été épinglée par trois anciens salariés qui ont dénoncé, devant la commission d’enquête sur la crise financière (FCIC) américaine, la course aux parts de marché entreprise par leur agence de notation, qui l’a conduite à « laisser de côté l’éthique de leur métier ». « Quand j’ai rejoint Moody’s fin 1997, la pire crainte d’un analyste était de contribuer à l’attribution d’une note qui serait fausse, de causer des dégâts à la réputation d’exactitude de Moody’s, et de perdre son travail en conséquence » explique Mark Froeba, ancien dirigeant au sein de la branche produits dérivés de Moody’s, « Quand j’ai quitté Moody’s (en 2008), la pire crainte d’un analyste était qu’il fasse quelque chose qui lui permettrait d’être désigné comme responsable d’avoir mis en danger la part de marché de Moody’s, de causer du tort à son chiffre d’affaires ou de dégrader les relations de Moody’s avec ses clients et de perdre son travail en conséquence ».

Mark Froeba a dénoncé « l’obsession de sa direction pour la part de marché » et la conséquence : faire passer les analystes sous l’autorité des banquiers d’investissement, ce qui les conduits à accorder des notes indûment élevées à certains produits. « Fondamentalement, ils ont eu recours à l’intimidation pour créer une population docile d’analystes effrayés à l’idée de contrarier des banquiers d’investissement et prêts à coopérer le plus possible », a-t-il dit.

« L’attention portée à la part de marché a conduit inévitablement à une incapacité à dire non aux contrats. Il était bien compris que si une agence de notation disait non, le banquier pouvait facilement donner le contrat à une autre », a déclaré Eric Kolchinsky, ancien directeur d’une équipe d’analystes au sein de cette branche des produits dérivés. Un troisième ex-employé de l’agence, Gary Witt, a tenu des propos similaires à ceux de ses anciens collègues.

Moody’s, société introduite en Bourse en 2000, a été accusée par le président de la Commission, Phil Angelides, d’être devenue « une usine de triple A », en référence à la note la plus élevée de l’échelle des grandes agences de notation, et de s’être trompée, comme ses concurrentes, dans les notes données aux titres adossés à des prêts immobiliers au moment de la bulle spéculative sur ce marché entre 2003 et 2006.

Plus de 80 % de ceux qui ont reçu la note maximale (AAA) ont vu cette note abaissée ensuite.

 

Aucun représentant des deux autres grandes agences de notation, Standard and Poor’s et Fitch Ratings, n’a souhaité répondre à l’invitation de la FCIC, commission indépendante composée de dix membres, créée en mai 2009 par le Congrès des Etats-Unis.

Pas étonnant. AAA : Arnaque des Actionnaires Anonymes.

Par Jean Lévy - Publié dans : Econom



 La France est en déficit depuis 37 ans et la dette atteint 85 % du PIB. Elle ne mérite déjà plus la note AAA, seulement il y a un accord avec les agences de notation : en aucun il ne doit y avoir une dégradation avant les présidentielles de 2012…

ça fait 37 ans que nous sommes endettés ! 2011 – 37 = 1974rappelez vous la loi rotchild ,pompidou , giscard !ou est l'arnaque?

 

 



rappelons que le fond Madoff, Lehman Brothers ou même les subprimes étaient notés AAA (meilleure note possible) par ces mêmes agences... avant la révélation au grand jour de la supercherie ! Niveau crédibilité, on repassera. Et pourtant, tout le monde ferme les yeux, guettant la moindre variation de notation pour ajuster ses positions, sans jamais remettre en cause leur jugement ou méthodes de calcul.

 

 


  De la neutralité des agences

La neutralité des agences de rating demeure un débat sans fin digne des meilleurs épisodes de la série Dallas. Le conflit d’intérêt entre les intérêts privés de ces sociétés et les enjeux publics des notations des dettes souveraines divise largement l’opinion.

 

On le sait tous, les trois "grandes" agences de notation sont américaines. Et pas qu’un peu. Profondément anglo-saxonnes, elles sont clairement anti-européennes, quoi qu’on en dise. De plus, elles restent très mesurées dans les notes données aux états. La dégradation de la note des Etats-Unis, aussi spectaculaire fut-elle, demeure un évènement rare. Moody’s et Fitch ont d’ailleurs confirmé le triple A des USA. Un seul coup de massue à la fois. Les nombreuses rumeurs de participation de ces agences à la crise des subprimes ainsi que les enquêtes menées (qui n’ont d’ailleurs jamais abouti) n’ont semble-t-il pas réussi à leur ôter leur suprématie.

  Agences de notation : la grande supercherie - iFinance : la finance ...

C’est pourtant bien vite oublier l’agence Dagong. Mais si, vous savez, cette petite agence de notation issue d’un tout petit pays qu’on appelle la Chine. Bien moins partiale, l’agence a depuis longtemps dégradé la note de la France et d’autres pays. Bizarrement, on en parle peu, voire jamais ! Alors que l’on déplore le manque cruel de concurrence sur la scène des notations, il semble être de bon goût de dénigrer la seule agence susceptible d’obtenir un poids significatif sur le marché très privé du rating.

L’œuf ou la poule ?

 

Et si, finalement, les données du problème étaient inversées ? Le pouvoir exorbitant des agences de notation envers les états n’est-il pas un pouvoir de fait, un privilège octroyé les états eux-mêmes ? Car c’est bien l'endettement exponentiel des états qui a nécessité la création d'agences privées pour surveiller les finances des émetteurs de dette, tant publique que privée. Le système de création de monnaie sous la forme de dettes (emprunt) requiert en effet la création d'organismes indépendants capables d'évaluer en permanence le risque de contrepartie (non remboursement de la dette) pour les investisseurs qui acceptent de souscrire à ces emprunts. Les nombreux textes successifs, à l’image de Bâle II, ont participé à ce mouvement.

 

Il est évident qu’en dénonçant l'influence exagérée des agences de notation, l'Etat reconnaît lui-même implicitement que le risque de défaut souverain existe bel et bien. Tout comme il est insupportable que des organismes privés se chargent d'une part de les auditer et d'autre part de leur faire payer leur note qui a conduit à un endettement hors de proportions avec ses capacités de remboursement, en période de croissance anémique.

 

Les gouvernements feraient mieux d’instituer un étalon de change fixe afin de mettre fin à la suprématie du dollar qui altère gravement les échanges mondiaux. Eux qui ont systématiquement trahis leurs engagements de rigueur budgétaire, pourtant inscrits en lettres d'or dans les traités européens successifs. Inscrire une "règle d'or" dans la constitution ne changera rien à l'affaire tant que le système monétaire basé sur l'émission de monnaie sous forme de dette ne sera pas réformé de fond en comble.

 

Mais il est tellement plus facile de tirer à boulet rouge sur les agences afin de détourner l’attention du public et ainsi éviter de voir ses propres faiblesses. Surtout à l'approche des élections présidentielles.

 

 


 


les mêmes causes produisent les mêmes effets et ils utilisent les mêmes solutions , sont ils idiots pour ne pas prendre de leçons de l'histoire?


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