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17 avril 2014 4 17 /04 /avril /2014 07:03
Appel d’un Rassemblement devant l’ambassade de Russie le 18/04/2014 à 18h

Les amis de la Russie s’organisent et lance un appel pour un rassemblent devant l’ambassade russe à Paris, pour soutenir ce pays sans lequel, probablement, la 3e guerre mondiale aurait déjà commencé. Venez nombreux remercier Vladimir Poutine pour sa vision, son respect des valeurs et sa fermeté face au mensonge ambiant. Plus que jamais, comme le disait G. Orwell, "En ces temps d’imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire".

 

Rassemblement devant l’ambassade de Russie le 18/04/2014 à 18h

Un rassemblement devant l’ambassade de Russie afin d’exprimer notre soutien au Président Poutine et au peuple Russe et dénoncer les agissements des impérialistes en association avec les fascistes qui déstabilisent l"Ukraine. Les Syriens n’oublient pas que Poutine les a aidé et les aident toujours à défendre leur pays contre les groupes djihadistes et salafistes payés par les Qataris, Saoudiens et soutenus par les Occidentaux. En Libye, en Syrie, en Egypte et aujourd’hui en Ukraine, l’impérialisme mondialisé tente de soumettre les peuples à la loi du marché et à la domination économique.
A l’Unité des Résistances anti-impérialistes !
Adresse 40-50 Bd. LANNES 75016 Paris

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يسعد صباحكم وصباح ابو علي بوتين بالنصر على كل جرذان الناتو


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ابو علي بوتين ساندنا ووقف الى جانبنا وكان فارسا بكل معنى الكلمه ولم يتخلى عن مساندتنا رغم كل الضغوط والاغراءات

فلذلك وجب علينا مساندته والوقوف الى جانبه والى جانب الاوكرانيين الموالين لروسيا والى الشرعيه الاوكرانيه التي اغتصبت من قبل اتباع الناتو
سننظم تجمع امام السفاره الروسيه في باريس بتاريخ 18/04/2014 الساعه 16 لنقول لأبو علي بوتين ان

 


Pourquoi la RUSSIE fait si tant peur aux OCCIDENTAUX ?

Voici l’une des nombreuses raisons, qui relève de la puissance militaire de la RUSSIE.

Lu quelque part …
Le MIG-31 : un chasseur en avance sur son temps
Les frontières aériennes de la Russie sont sous la protection d’un chasseur unique, capable d’intercepter n’importe quelle cible : des missiles de croisière utilisant le relief pour se dissimuler jusqu’aux satellites, de jour comme de nuit, par tous les temps et à n’importe quelle vitesse.

Les experts militaires indiquent qu’à l’heure actuelle et durant les 10 à 15 prochaines années, il n’y aura dans le monde aucun système aéronautique développant des caractéristiques comparables à celles du MIG-31 russe.

Le bouclier de l’arctique
Le chasseur-intercepteur supersonique biplace MIG-31 (code OTAN : « Foxhound ») est le premier avion militaire soviétique de quatrième génération. Les raisons ayant conduit à sa création à la fin des années 1960 découlent de deux facteurs principaux, externe et interne.

D’une part, la mise en service par les États-Unis de missiles de croisière stratégiques ainsi que du bombardier FB-111 : en volant au dessus du pôle nord, ces équipements étaient en mesure d’atteindre les frontières de l’URSS à faible altitude tout en épousant le relief afin d’éviter d’entrer dans le champ de vision des satellites soviétique.

D’autre part, la Russie constituait alors un trou béant dans la couverture radar des frontières.

Afin de combler ce trou et d’aller à la rencontre de possibles « invités indésirables », il fut décidé de lancer vers le ciel des avions arctiques, capables de contrôler l’espace aérien sur un large front et à toutes les altitudes.

Cette tâche a été dévolue aux nouveaux MIG développés par le bureau d’études expérimental portant le nom du célèbre concepteur d’avion Artiom Mikoyan (désormais la Russian Aircraft Corporation « MIG »).

Après leur mise en service, les MIG ont ainsi permis de réduire considérablement la fréquence des vols des avions-espions américains le long des frontières de l’URSS.

Le meilleur d’après tous les critères. Désormais, alors que la question de la protection des intérêts russes dans la région Arctique gagne en importance, l’expérience « arctique » du MIG-31 pourrait rendre de plus grands services aux composantes nordiques des forces armées russes.

Le MIG-31 est capable d’intercepter et de détruire n’importe quelle cible :
des satellites à basse altitude aux missiles de croisière. Le groupe d’intercepteurs contrôle une large portion de l’espace aérien en indiquant leurs cibles aux chasseurs et aux systèmes de défense antiaérienne basés au sol.

En raison des capacités uniques de l’équipement radio-électronique embarqué, les pilotes russes ont surnommé l’avion le « radar volant ». Le système de contrôle de l’armement « Zaslon » (bouclier), pourvu de la première antenne réseau à commande de phase du monde, constitue le cœur de ce complexe radio-électronique.

A la différence d’un radar classique, ce système permet de déplacer le faisceau à partir de l’antenne fixe, de façon à créer plusieurs rayons et d’être ainsi en mesure de suivre plusieurs cibles à la fois.

A l’heure actuelle, et dans les 10 à 15 prochaines années, aucun système aéronautique ne sera en mesure de fournir des performances comparables à celles du MIG-31.

Tous les chasseurs modernes (à l’exception des appareils de cinquième génération) ne sont pas entièrement supersoniques, dans la mesure où leur autonomie en vol supersonique est limitée à 5 à 15 minutes en raison de toutes sortes de limitations au niveau de la conception de la carlingue. « Zaslon » est capable de détecter 24 objets à une distance de 200 kilomètres.

L’ordinateur de bord sélectionne les quatre cibles les plus dangereuses et dirige vers ces dernières des missiles air-air à longue portée. Les quatre autres cibles (le nombre maximal de cibles pour une attaque simultanée est de 8) sont traitées au moyen de missiles à moyenne et courte portée ou leurs coordonnées sont transmises aux chasseurs ainsi qu’aux systèmes de défense antiaérienne au sol.

L’autonomie en vol supersonique du MIG-31 n’est limitée que par la capacité de son réservoir de carburant. Par ailleurs, le MIG-31 est capable de passer le mur du son en vol horizontal comme en vol ascensionnel, tandis que la majorité des avions supersoniques ne sont capables de dépasser la vitesse de Mach 1 qu’en position de léger piqué.

La production du MIG-31 a été lancée en 1981 au sein de l’usine « Sokol » (faucon) de la ville de Gorki (aujourd’hui Nijni-Novgorod). Jusqu’à la fin de l’année 1994, 500 de ces appareils ont été construits, après quoi leur production a été réduite, bien qu’une centaine d’entre eux soient encore en service à l’heure actuelle.

Le travail de modernisation en profondeur du MIG-31 a débuté en 1984, débouchant sur la création du MIG-31M. Ce dernier représente le sommet du développement de l’aviation militaire de l’URSS, c’est pourquoi un certain nombre d’informations à son sujet revêtent toujours un caractère confidentiel. Il est établi que le MIG-31M surclasse tous les appareils du monde dans sa catégorie de près de 500km/h en termes de vitesse maximale.

L’appareil a été dévoilé en aout 1995 au cours du salon aéronautique MAKS-95, à Joukovski, suscitant alors des réactions enthousiastes. Le MIG-31M n’a toutefois pas été produit en série.

Cependant, l’usine ainsi que les sites de réparation des avions ont conservé leur capacité de production, leur personnel ainsi que les documents nécessaire à une reprise de leur activité.

D’après les estimations des spécialistes de l’aéronautique, tout cela permet de réduire de plus d’un tiers le temps nécessaire ainsi que les coûts liés au redémarrage de la production de ces appareils si prometteurs en matière de protection des frontières aériennes de la Russie.

" Pour obliger la TORTUE à sortir sa tête de sa puissante carapace, on essaie d’allumer un feu dans ses environs immédiats. "

 


Derniers voeux de Poutine pour Assad ?!

 

IRIB- Selon une source syrienne citée par le site Al Nashra, le président russe vient d'envoyer un message oral
à Assad où il lui souhaite victoire à la présidentielle 2014!! " le message de Poutine à Assad exprime très clairement le soutien du président russe à la réélection du président syrien sortant, affirme le journal El Watan citant une source très haut placée à Damas. Au cours d'une récente rencontre avec l'émissaire russe Sergueï Stepachine , Assad aurait affirmé la fin proche de la phase militaire de la guerre contre le terrorisme : " les opérations militaires se fait dans l'objectif de sécuriser les grandes villes et leur banlieue d'ici fin de l'année chrétienne en cours" . Assad n'aurait pas donné toutefois une date exacte. selon le journal qui cite toujours la source syrienne, Assad entend par Damas et sa banlieue , rif de Damas, Alep, Homs et leurs alentours.


Poutine prône le renforcement des relations avec la Syrie

 

 

 

IRIB- Le président russe a demandé le renforcement des relations  avec la Syrie dans tous les domaines.

Vladimir  Poutine a dans un message à l’adresse de son homologue syrien, Bachar Assad, émis l’espoir que les relations amicales et les coopérations constructives des deux pays soient renforcées. Poutine  a ajouté ensuite que le renforcement des coopérations russo-syriennes était au profit de la stabilité et de la sécurité de la région. D’autre part, en réaction à l’équipement des terroristes syriens par des missiles américains Tow, la diplomatie russe a précisé que cela n’est possible qu’avec le feu vert des Etats-Unis, et que cela empêche le règlement  politique de la crise. Par ailleurs, le ministère syrien des Affaires étrangères  a qualifié la position des pays européens envers l’élection présidentielle en Syrie d’ingérence flagrante dans les affaires intérieures de Damas.

 



 

 

 


 


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10 avril 2014 4 10 /04 /avril /2014 22:00
Poutine défie l'Empire !!!

 

 

IRIB- C’est la première fois depuis des années que la Russie lance un défi majeur à l’ordre mondial que les Etats-Unis veulent imposer au monde. 

Un article publié par la Fondation Carnegie estime que malgré les sanctions et les pressions que les puissances occidentales veulent imposer à la Russie, Moscou est déterminé à poursuivre son projet pour lancer un défi à l’ordre mondial dominé par les Etats-Unis. L’article signé par les experts de la Fondation Carnegie indique que malgré l’établissement des relations avec les organisations occidentales depuis plusieurs années, Moscou n’a jamais adhéré réellement l’ordre mondial américain, et n’a pas hésité non plus de le critiquer à diverses occasions. Mais cette fois-ci, il paraît que le président russe Vladimir Poutine est fermement déterminé à poursuivre son projet en essayant d’établir des alliances avec des pays qui s’opposent à l’ordre mondial qui est largement dominé par les Etats-Unis.

Selon les rumeurs qui courent ces derniers temps à Moscou, le président russe Vladimir Poutine est en train de prendre des mesures qui lui permettraient de paralyser le G8. Lors de leur dernière réunion à La Haye, les dirigeants des grands pays occidentaux ont décidé de suspendre les activités du G8 et de revenir sur le modèle ancien du G7 composé uniquement des sept pays les plus industrialisés de l’Occident. Pendant les 16 années de son adhésion au G8, la Russie n’avait jamais réussi à s’intégrer dans l’ordre mondial qui était dominé par les Etats-Unis. Maintenant, les dirigeants russes sont fermement décidé à critiqué cet ordre mondial américain et à lui lancer des défis majeurs sur le plan pratique.

En outre, il paraît que la disparition du G8 n’aurait pas de grandes retombées sur la politique étrangère de la Russie. En effet, depuis que l’ancien chancelier allemand Gerhard Schröder, et l’ancien président français Jacques Chirac avaient décidé de quitter ce groupe dans les années 2000, le président russe Vladimir Poutine n’avait plus caché qu’il n’avait pas de véritables intérêts à y rester pour longtemps. Pendant toutes ces années, la politique des puissances occidentales consistait à garder la Russie dans la chambre d’attente, tandis qu’elles poursuivaient leurs politiques pour dominer de plus en plus l’ordre mondial. Mais cette politique a été contreproductive pour l’occident, car la Russie est restée entièrement autonome de cet ordre mondial américain, sans avoir établi de véritables relations structurelles avec Washington ou Bruxelles.

Cependant, la Russie est fière d’être présente à toutes les institutions et organisations internationales. La Russie est un membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU, membre du G8, membre du Brics (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud), membre du Conseil d’Europe, … Après la décision des puissances occidentales d’expulser la Russie du G8, il est très probable que Moscou quitte volontairement le conseil parlementaire du Conseil d’Europe avant que les Européens décident d’imposer de nouvelles sanctions contre le Kremlin. Le conseil commun Russie/Otan qui devait être un instrument efficace pour coordonner les relations stratégie entre Moscou et l’Alliance atlantique est également fragilisé à son tour. Il paraît que le président russe Vladimir Poutine se prépare pour une contre-attaque dans tous les domaines politiques, économiques et militaires. Dans ce cadre, les Russes se préparent à profiter de tout leur potentiel : l’union des pays de l’Eurasie ou le développement du concept du « monde russe » semblent être les premiers indices de cette nouvelle politique étrangère du Kremlin.

Il paraît que la Russie de Vladimir Poutine ne resterait pas les bras croisés à l’intérieur de ses frontières en Eurasie. Beaucoup plus active que par le passé, la Russie veut développer ses relations avec les pays qui semblent ne pas vouloir se soumettre à ce que Washington leur dicterait au sujet du régime des sanctions contre la Russie, car il est évident que des pays comme la Chine et l’Inde ne réduiront pas le niveau de leur coopération avec la Russie.

Sur le, plan régional, les dirigeants russes essaieront de renforcer leurs relations avec des pays comme le Japon, la Corée du Sud, la Turquie, l’Iran, l’Egypte, l’Argentine, le Mexique, le Brésil ou Singapour. Sur ce plan, les Russes tendent d’être pragmatiques et se concentreront essentiellement sur la coopération économique pour pouvoir contourner, au moins partiellement, les sanctions que les Etats-Unis et l’Europe lui imposent. En effet, tout le monde sait très bien qu’il est impossible d’imaginer que des sanctions que l’Occident eux imposer à Moscou puissent soumettre la Russie à un isolement comparable à celui de la Corée du Nord. Tandis que les Etats-Unis considèrent la Russie comme un pays faible et une puissance en décadence, le président Poutine dit que ce sont les Etats-Unis qui vivent, en fait, les derniers beaux jours de leur puissance mondiale. Poutine avait déjà menacé le défi contre les Etats-Unis dans l’affaire d’Edward Snowden. Dans la crise de l’Ukraine, la Russie a réussi de nouveau à renforcer sa position de ce nouveau défit avec l’Occident. 

 


 

Ukraine: Poutine menace de fermer le robinet du gaz

 

IRIB-Vladimir Poutine a mis en demeure jeudi les Européens d'assurer le paiement
des milliards de dettes de l'Ukraine ou risquer de voir leurs approvisionnements en gaz menacés, relançant la pire crise Est-Ouest depuis la fin de la guerre froide.Vladimir Poutine a mis en demeure jeudi les Européens d'assurer le paiement des milliards de dettes de l'Ukraine ou risquer de voir leurs approvisionnements en gaz menacés, relançant la pire crise Est-Ouest depuis la fin de la guerre froide.Pendant ce temps, le face-à-face tendu entre séparatistes pro-russes et loyalistes se poursuivait dans l'est de l'Ukraine, malgré une offre d'amnistie du pouvoir pro-européen de Kiev.Dans une lettre à 18 dirigeants européens, le président russe a affirmé que son pays a subventionné l'économie de l'Ukraine à hauteur de plus de 35 milliards de dollars depuis quatre ans et exige que ce soutien se fasse désormais sur un pied d'égalité.Alors que Moscou a augmenté de 80% la semaine dernière le prix de ses livraisons à Kiev, au bord de l'asphyxie financière, M. Poutine a prévenu qu'en cas de non-paiement le robinet serait coupé, faisant surgir le spectre des guerres du gaz qui avaient réduit les livraisons vers l'ouest du continent en 2006 et 2009.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

Syrie : "La Jordanie veut lâcher Riyad" !

 

IRIB- Est-ce l'effet de la visite du roi jordanien en Russie? un général saoudien qui souhaite garder l'anonymat estime que le royaume hachémite n'a jamais souhaité le renversement d'Assad mais a depuis le début de la guerre , a accompgané les efforts anti Assad . le général en question qui est en rapport avec le dossier syrien et qui assisstait à une cérémonie organisée dans ll'un des hôtels luxueux d'Amman a poursuivi : " La Jordanie est en phase de lâcher l'Arabie saoudite dans le dossier syrien et ne cesse d'exercer des pressions sur l'équipe militaire saoudienne en mission en Jordanie ( ndlr : celle qui sous l'auspice de Salman Ben Sultan gère les camps d'entrainement des terroristes sur le sol jordanien) " " la Jordanie n'a jamais voulu qu'Assad tombe mais n'a jamais cessé non plus d'accompagner les efforts destinés à provoquer la chute d'Assad" " si la Jordanie choisit une nouvelle ligne syrienne, l'Arabie saoudite perdra un grand bastion d'envoie d'armes en Syrie. Riyad a peur de l'alliance qui pourrait y avoir entre le Qatar et la Jordanie après les divergences très profondes qui divisent l'Arabie saoudite et le Qatar" .

 


 

Batteries de missiles turques braqués sur Lattaquié

 

IRIB-L'armée turque a mobilisé des dizaines de chars

et des lances-roquettes dans la localité de Nassibin dans la province frontalière de Mardin non loin du territoire syrien. l'armée turque a braqué des dizaines de chars et de lance-roquettes en direction des villes et villages de la région de Qamishlo . selon les informations en provenance de la Turquie, les militaires turcs ont pris position tout au long de la ligne frontalière où des tranchées ont été creusés tous les deux cent mètres à l'effet d'y installer des canons et des batterie de missiles ! les patrouilles militaires turques sillonnent les frontières 24 heures sur 24 . les forces sécuritaires et militaires ont pris des mesures spéciales dans la région de Qameshli surtout à Chanlu Orfa. certains médias  turcs rapportent cette information sous l'intitulé " des armes sont braquées sur la Syrie". Depuis près d'un mois, la Turquie d'Erdogan s'est impliquée dans des opérations militaires directes contre la Syrie à Lattaquié , à Alep . des milliers de takfiris tchéchènes et saiudiens qu'elle a sur ses ordres prenennt d'assaut les localités syrienne. à Lattaquié la ville de Kessab est toujours aux mains de ces mêmes terroristes . selon les analystes , il est tout à fait possible que la Turquie, suivant les ordres de l'Otan, déclenche une confrontation directe contre Assad et son armée. Erdogan compte beacoup sur une telle offensive , bien impopulaire en Turquie, pour booster ses chances en vue de la présidentielle.

 

 


 

Par Alexandre Sivov*

casseAprès l’est et le sud-est de l’Ukraine, c’est le nord-est qui s’embrase. Hier, à Kharkov, un bus de la police a été copieusement caillassé. Le conducteur a certainement eu la vie sauve lorsque son véhicule, qui était bloqué dans les embouteillages a réussi à s’extirper. Les temps sont de plus en plus durs pour les nouvelles autorités de Kiev, qui, visiblement, n’ont pas compris leur propre pays et surtout surestimé l’Occident dont elles sont les sous-fifres politiques. 

En réalité, le régime actuel de Kiev n’a pas assez de troupes pour pouvoir occuper militairement l’est de l’Ukraine. Par conséquent Kiev ne peut envoyer d’expédition punitive à l’Est.  Ses petites expéditions actuelles n’auront qu’un succès temporaire comme le relève aujourd’hui Edouard Limonov dans son blog. Hélas, la protestation populaire se lève à nouveau et est plus forte que la précédente.

Tout le monde a vu cette vidéo dans laquelle des personnes, hommes et femmes, à Kharkov, traquent le bus de police comme une bête sauvage. Pour une occupation permanente de l’Est de l’Ukraine avec ses dix millions d’habitants, Kiev a besoin d’une grande armée, ce qu’il n’a pas. En fait, le grand paradoxe est que la plupart des membres de l’armée ukrainienne viennent de l’Est de l’Ukraine. L’exemple de la Crimée est là pour prouver nos dires avec la majorité des soldats ukrainiens qui y étaient postés ont préféré faire allégeance à la Russie.

Et, c’est pourquoi les forces d’occupation avec une telle armée ne sont pas capables de renverser la vapeur à terme. Quant aux forces séparatistes, elles vont s’associer avec les Républiques Populaires de Donbass et de Kharkov pour vaincre Kiev.

 

 

 

 

 


L’or ukrainien : disparu et retrouvé en Irak – par Laurent Glauzy

Posté le Mercredi 9 avril 2014 | Commentaires fermés

gold-reserves-bundesbankNuit du 7 mars 2014 : à Borispol, aéroport de Kiev, quarante caisses de lingots d’or sont chargées en secret dans un avion non immatriculé, entouré d’une impressionnante escorte.

Tous les médias occidentaux ont observé le plus grand silence sur cette affaire. Seule la presse russe a évoqué l’évènement. Les journaux moscovites supposent que l’Oncle Sam aurait pris livraison des caisses de lingots d’or de l’Ukraine, par crainte d’une improbable invasion russe.

Ainsi, quarante caisses de lingots, constituant peut-être la quasi-totalité de la réserve d’or de l’Ukraine, ont quitté le pays en une seule nuit ! Le World Gold Council estime à 42,3 tonnes les réserves d’or de l’Ukraine. D’après les experts, une caisse de lingots portés par une palette standard contient 900 kg. Quarante caisses représentent donc environ 36 tonnes d’or.Par ailleurs, le 27 mars 2014, selon l’organe économique Les Échos, « l’Irak double ses réserves d’or ». L’Irak, qui possédait déjà 29,8 tonnes d’or, a acheté 36 tonnes d’or, au prix de 1,5 milliard de dollars. Par conséquent, ce pays possède à présent 65,8 tonnes d’or qui, d’après les déclarations officielles de Bagdad, servent à stabiliser la monnaie nationale, le dinar. Les Échos affirment qu’aucun gouvernement n’avait acheté autant d’or depuis trois ans.

Les experts se demandent comment une acquisition aussi importante n’a pas altéré les cours du métal jaune. En effet, en 2013, lorsque Chypre avait été contrainte de mettre en vente une grande partie de ses réserves, soit 13,9 tonnes d’or, les valeurs avaient chuté et le marché avait été saisi d’un vent de panique inédit depuis trente ans.

Curieusement, à présent, la banque centrale de Bagdad achète une quantité trois fois plus importante, sans que le marché n’enregistre aucune baisse. Sachant que l’Ukraine est presque devenue un satellite des États-Unis, et que Bagdad est sous « libération » américaine, cette transaction demeure bien suspecte.

Celle-ci aurait pu servir de paiement anticipé à une future livraison de pétrole, car Moscou a doublé ses prix à Kiev.

Et, pendant que les Ukrainiens sont dépossédés de leurs réserves (bienvenu en Occident, mes frères !), l’Amérique poursuit ses provocations en envoyant un navire de guerre en mer Noire « en réponse à la situation ukrainienne », mais aussi en déployant des F-15 et des F-16 en Pologne et dans la Baltique pour patrouiller dans l’espace aérien. Washington offre aussi de protéger militairement l’Arménie et l’Azerbaïdjan, terres d’exercices militaires pour la Russie. Les États-Unis agissent comme si l’Ukraine était déjà membre de l’OTAN. En fait, Washington, qui veut toujours sa guerre, entend y parvenir par des provocations.

De plus, les vingt-huit ministres des Affaires étrangères de l’OTAN ont choisi (pour satisfaire l’oncle Sam) de suspendre toute forme concrète de coopération civile et militaire avec la Russie. L’Alliance atlantique est en train de renforcer les dispositifs militaires dans tous les pays limitrophes de la Russie, proposant de les défendre contre l’envahisseur. Enfin, via la banque JP Morgan, ils ont bloqué un virement émanant de l’ambassade russe à Astana en faveur de la compagnie d’assurance russe Sogaz. Cette manière de procéder constitue bien un acte contraire à la civilité diplomatique.

Toutes ces provocations ont un but évident : obliger Moscou à réagir en maintenant les tensions. En outre, la disparition de l’or ukrainien constitue surtout le vol d’un État. »

Laurent Glauzy

 


 

histoire:

 

Les Dönmeh :
le secret le plus chuchoté du Moyen Orient

Sabbatai Zevi in 1665

4,145 words

Partie I

Un « gorille historique de 400 kilos » hante l’arrière-plan de presque chaque incident militaire et diplomatique grave impliquant Israël, la Turquie, l’Iran, l’Arabie Saoudite, l’Irak, la Grèce, l’Arménie,  les Kurdes, les Assyriens, et quelques autres acteurs au Moyen Orient et dans l’Europe du sud-est.  C’est un facteur qui est généralement seulement chuchoté dans les réceptions diplomatiques, les conférences d’information et les séances des « think tank », à cause de la nature explosive et controversée du sujet. Et c’est le secret attaché au sujet qui a été la raison de la si grande incompréhension concernant la récente rupture des relations entre Israël et la Turquie, le réchauffement croissant des relations entre Israël et l’Arabie Saoudite, et l’hostilité croissante entre l’Arabie Saoudite et l’Iran…

Bien que connue des historiens et des experts religieux, l’influence politique et économique séculaire d’un groupe connu sous le nom turc de « Dönmeh » ne fait que commencer à apparaître sur les lèvres des Turcs, des Arabes et des Israéliens qui hésitaient à discuter de la présence en Turquie et ailleurs d’une secte de Turcs descendant d’un groupe de Juifs sépharades qui avaient été expulsés d’Espagne par l’Inquisition espagnole aux XVIe et XVIIe siècles. Ces réfugiés juifs d’Espagne furent autorisés à s’établir dans l’Empire ottoman et avec le temps ils se convertirent à une secte mystique de l’islam qui mélangea finalement la Kabbale juive et les croyances semi-mystiques soufies islamiques dans une secte qui finit par soutenir la laïcité dans la Turquie post-ottomane. Il est intéressant de noter que le mot « Dönmeh » ne désigne pas seulement les « convertis douteux » à l’islam en Turquie mais est aussi un mot turc désobligeant désignant un travesti, ou quelqu’un qui prétend être ce qu’il n’est pas.

La secte dönmeh du judaïsme fut fondée au XVIIe siècle par le rabbin Sabbataï Zevi, un kabbaliste qui croyait être le Messie mais qui fut contraint de se convertir à l’islam par le sultan Mehmet IV, le souverain ottoman. Beaucoup des fidèles du rabbin, connus sous le nom de sabbataïstes, mais aussi des « crypto-juifs », proclamèrent publiquement leur foi islamique mais pratiquèrent secrètement leur forme hybride de judaïsme, qui n’était pas reconnue par les principales autorités rabbiniques juives. Parce que c’était contre leurs croyances de se marier en-dehors de leur secte, les Dönmeh créèrent un clan assez secret à l’intérieur de la société.

LES DÖNMEH PRENNENT LE POUVOIR EN TURQUIE

Beaucoup de Dönmeh, avec des Juifs traditionnels, devinrent de puissants dirigeants politiques et commerciaux à Salonique. C’est ce groupe central de Dönmeh qui organisa l’organisation secrète des Jeunes Turcs, également connue sous le nom de Comité pour l’Union et le Progrès, les laïcistes qui déposèrent le sultan ottoman Abdülhamid II lors de la révolution de 1908, proclamèrent la République post-ottomane de Turquie après la Première Guerre mondiale, et qui lancèrent la campagne qui dépouilla la Turquie de la plus grande part de son identité islamique après la chute des Ottomans. Abdülhamid II fut traité de tyran par les Jeunes Turcs, mais il semble que son seul crime ait été de refuser de rencontrer le dirigeant sioniste Theodore Herzl durant une visite à Constantinople en 1901 et de rejeter les propositions financières sionistes et dönmeh en échange d’un contrôle sioniste de Jérusalem.

Comme d’autres dirigeants qui ont croisé le chemin des sionistes, le sultan Abdülhamid II semble avoir scellé son sort avec les Dönmeh avec cette déclaration devant la cour ottomane : « Dites au Dr. Herzl de ne rien faire de plus concernant son projet. Je ne puis abandonner ne serait-ce qu’une poignée de terre de ce pays, car ce n’est pas le mien, il appartient à toute la nation islamique. La nation islamique a fait le djihad pour cette terre et l’a arrosée de son sang. Les Juifs peuvent garder leur argent et leurs millions. Si le Califat islamique est détruit un jour, alors ils pourront prendre la Palestine gratuitement ! Mais tant que je suis vivant, je me passerais une épée à travers le corps plutôt que de voir la terre de Palestine arrachée à l’Etat islamique ». Après son éviction par les Dönmeh Jeunes Turcs d’Atatürk en 1908, Abdülhamid II fut emprisonné dans la citadelle dönmeh de Salonique. Il mourut à Constantinople en 1918, trois ans après qu’Ibn Saoud ait donné son accord pour un foyer juif en Palestine et un an après que Lord Balfour ait accordé la Palestine aux sionistes dans sa lettre au baron Rothschild.

L’un des dirigeants jeunes turcs à Salonique était Mustafa Kemal Atatürk, le fondateur de la République de Turquie. Quand la Grèce obtint la souveraineté sur Salonique en 1913, beaucoup de Dönmeh, ne parvenant pas à se faire enregistrer comme juifs, allèrent s’établir à Constantinople, plus tard renommée Istanbul. D’autres partirent pour Izmir, Bursa, et pour la capitale nouvellement proclamée d’Atatürk et futur siège du pouvoir de l’Ergenekon, Ankara.

Certains textes suggèrent que les Dönmeh dépassaient le nombre de 150.000 et se trouvaient principalement dans l’armée, l’administration et le commerce. Cependant, d’autres experts suggèrent que les Dönmeh représentaient peut-être 1,5 million de Turcs et étaient encore plus puissants qu’on ne le pensait généralement,  et que leur pouvoir s’étendait à tous les secteurs de la société turque. Un Dönmeh influent, Tevfik Rustu Arak, était un ami proche et un conseiller d’Atatürk et fut le Premier Ministre de la Turquie de 1925 to 1938.

Atatürk, dont on dit qu’il était lui-même un Dönmeh, ordonna que les Turcs abandonnent leurs noms arabo-musulmans. Le nom du premier empereur chrétien de Rome, Constantin, fut effacé de la plus grande ville turque, Constantinople. La ville devint Istanbul, après que le gouvernement d’Atatürk ait rejeté le nom traditionnel en 1923. De nombreux bruits ont circulé sur le nom d’Atatürk lui-même, puisque « Mustapha Kemal Atatürk » était un  pseudonyme. Certains historiens ont suggéré qu’Atatürk adopta ce nom parce qu’il était un descendant de Rabbi Zevi en personne, le Messie autoproclamé des Dönmeh ! Atatürk abolit aussi l’usage de l’écriture arabe en Turquie et força le pays à adopter l’alphabet occidental.

LA TURQUIE MODERNE : UN ETAT SIONISTE SECRET CONTROLE PAR LES DÖNMEH

Les fortes racines juives suspectées d’Atatürk, sur lesquelles toutes les informations furent supprimées pendant des décennies par un gouvernement turc qui interdisait toute critique du fondateur de la Turquie moderne, commencèrent à refaire surface, d’abord en-dehors de la Turquie et dans des publications écrites par des auteurs juifs. Le livre publié en 1973, The Secret Jews, par le rabbin Joachim Prinz, affirme qu’Atatürk et son ministre des finances, Djavid Bey, étaient tous deux des Döhmeh ardents et qu’ils étaient en bonne compagnie, car « trop de jeunes Turcs dans le Cabinet révolutionnaire nouvellement constitué priaient Allah, mais avaient leur propre prophète [Sabbataï Zevi, le Messie de Smyrne] ». Dans The Forward du 28 janvier 1994, Hillel Halkin écrivit dans le New York Sun qu’Atatürk récitait le « Sheema Israël » (« Ecoute, Ô Israël ») juif, disant que c’était « ma prière aussi ». L’information est tirée d’une autobiographie du journaliste Itamar Ben-Avi, qui affirme qu’Atatürk, à cette époque jeune capitaine de l’armée turque, révéla qu’il était juif dans le bar d’un hôtel de Jérusalem lors d’une nuit pluvieuse durant l’hiver 1911. De plus, Ataturk suivit les cours de l’école primaire Semsi Effendi à Salonique, dirigée par un Dönmeh nommé Simon Zevi. Dans l’article du New York Sun, Halkin parla d’un e-mail qu’il avait reçu d’un collègue turc : « Je sais maintenant – je sais (et je n’ai jamais eu le moindre doute) – que la famille du père d’Atatürk était en fait de souche juive ».

C’est l’appui d’Atatürk et des Jeunes Turcs au sionisme, la création d’un foyer juif en Palestine, après la Première Guerre mondiale et durant la domination nazie en Europe, qui fit apprécier la Turquie par Israël et vice-versa. Un article du 8 mai 2007 dans The Forward révéla que les dirigeants turcs,  dominés par les Dönmeh « du président aux principaux diplomates… et une grande partie des élites militaires, culturelles, académiques, économiques et professionnelles de la Turquie », écartèrent la Turquie d’une alliance avec l’Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale, et privèrent Hitler de la route turque vers les champs pétrolifères de Bakou. Dans son livre, The Donme: Jewish Converts, Muslim Revolutionaries and Secular Turks, le professeur Marc David Baer écrivit que beaucoup d’entre eux parvinrent à des positions élevées dans les ordres religieux soufis.

Israël a toujours été réticent à décrire le massacre des Arméniens par les Turcs en 1915 comme un « génocide ». On a toujours pensé que la raison de la réticence d’Israël était la crainte de compromettre les liens militaires et diplomatiques étroits entre Israël et la Turquie. Cependant, on découvre toujours plus de preuves que le génocide arménien fut largement l’œuvre des dirigeants dönmeh des Jeunes Turcs. Des historiens comme Ahmed Refik, qui servit comme officier de renseignement dans l’armée ottomane, affirma que c’était le but des Jeunes Turcs de détruire les Arméniens, qui étaient chrétiens pour la plupart. Les Jeunes Turcs, sous la direction d’Ataturk, expulsèrent aussi les chrétiens grecs des villes turques et tentèrent de commettre un génocide à plus petite échelle contre les Assyriens, qui étaient aussi principalement des chrétiens.

Un Jeune Turc de Salonique, Mehmet Talaat, était le dirigeant qui mit en œuvre le génocide des Arméniens et des Assyriens. Un mercenaire vénézuélien qui servit dans l’armée ottomane, Rafael de Nogales Mendez, nota dans ses annales du génocide arménien que Talaat était connu sous le nom de « l’Hébreu renégat de Salonique ». Talaat fut assassiné en Allemagne en 1921 par un Arménien dont toute la famille avait disparu durant le génocide ordonné par l’« Hébreu renégat ». Certains historiens du génocide pensent que les Arméniens, connus comme de bons commerçants, furent ciblés par les Dönmeh doués pour le commerce parce qu’ils étaient considérés comme des rivaux commerciaux.

Ce n’est donc pas le désir de protéger l’alliance israélo-turque qui a poussé Israël à éviter de rechercher les raisons du génocide arménien, mais la connaissance par Israël et les Dönmeh que c’est la direction dönmeh des Jeunes Turcs qui non seulement assassina des centaines de milliers d’Arméniens et d’Assyriens mais qui supprima aussi les coutumes et les habitudes musulmanes traditionnelles de la Turquie. La connaissance que c’est les Dönmeh, dans une alliance naturelle avec les sionistes d’Europe, qui furent les responsables de la mort des chrétiens arméniens et assyriens, de l’expulsion hors de Turquie des chrétiens orthodoxes grecs, et de l’éradication culturelle et religieuse des traditions islamiques turques, aurait fait surgir une nouvelle réalité dans la région. A la place des Chypriotes grecs et turcs vivant sur une île divisée, des Arméniens menant une vendetta contre les Turcs, et des Grecs et des Turcs se querellant pour des territoires, tous les peuples attaqués par les Dönmeh auraient compris qu’ils avaient un ennemi commun qui était leur véritable persécuteur.

LE DEFI AU REGNE DES DÖNMEH : LE COMBAT DE LA TURQUIE CONTRE L’ERGENEKON

C’est la purge contre les fidèles kémalistes d’Atatürk et de son régime dönmeh laïc qui est le motif de l’enquête sur la conspiration de l’Ergenekon en Turquie. La description de l’Ergenekon cadre complètement avec la présence dönmeh dans la hiérarchie diplomatique, militaire, judiciaire, religieuse, politique, académique, commerciale et journalistique de la Turquie. L’Ergenekon tenta de stopper les réformes mises en œuvre par les dirigeants turcs non-dönmeh successifs, incluant la réintroduction des coutumes et rituels islamiques turcs traditionnels, en préparant une série de coups d’Etat, certains réussis comme celui qui déposa le gouvernement islamiste du Refah (Bien Public) du premier Ministre Necmettin Erbakan en 1996 et certains manqués, comme l’OPERATION SLEDGEHEMMER, qui visait à déposer le Premier Ministre Recep Tayyip Erdogan en 2003. Certains réformistes de tendance islamiste, incluant le Président turc Turgut Ozal et le Premier Ministre Bulent Ecevit, moururent dans des circonstances suspectes. Le Premier Ministre démocratiquement élu Adnan Menderes fut déposé et pendu en 1961, après un coup d’Etat militaire.

Les politiciens et les journalistes américains, dont la connaissance de l’histoire de pays comme la Turquie et l’Empire ottoman précédent est souvent gravement lacunaire, ont dépeint la friction entre le gouvernement d’Israël et le gouvernement turc du Premier Ministre Erdogan comme étant basée sur la dérive de la Turquie vers l’islamisme et le monde arabe. Loin de là, Erdogan et son Parti pour la Justice et le Développement (AKP) semblent avoir finalement trouvé un moyen de se libérer de la domination et de la cruauté des Dönmeh, que ce soit sous la forme des fidèles kémalistes d’Atatürk ou des comploteurs nationalistes de l’Ergenekon. Mais avec le « Jour de l’Indépendance » de la Turquie, le vitriol est venu de la part des Dönmeh et de leurs alliés naturels en Israël et du lobby israélien aux Etats-Unis et en Europe. La Turquie comme membre de l’Union Européenne convenait très bien à l’Europe tant que les Dönmeh demeuraient au pouvoir et permettaient que la richesse de la Turquie soit pillée par les grandes banques, comme cela s’est passé en Grèce.

Quand Israël lança son attaque sanglante contre le vaisseau d’aide turque pour Gaza, le Mavi Marmara, le 31 mai 2010, la raison n’était pas vraiment le passage du navire à travers le blocus israélien de Gaza. La brutalité des Israéliens pour abattre des Turcs désarmés et un citoyen turco-américain, certains à bout portant d’après un rapport de l’ONU, indiquait qu’Israël était motivé par quelque chose d’autre : la vengeance et les représailles après la répression du gouvernement turc contre l’Ergenekon, la purge contre les Dönmeh dans les hauts postes de l’armée et du renseignement turcs, et l’inversion des politiques religieuses et culturelles antimusulmanes instaurées par le fils favori des Dönmeh, Atatürk, quelque quatre-vingt-dix ans plus tôt. En effet, l’attaque israélienne contre le Mavi Marmara était en représailles contre l’emprisonnement par la Turquie de plusieurs haut-gradés militaires, journalistes et académiques turcs, tous accusés de faire partie du complot Ergenekon pour renverser le gouvernement de l’AKP en 2003. Derrière le complot de l’Ergenekon, le fait caché est que les Dönmeh et l’Ergenekon sont liés par toute leur histoire en tant que kémalistes, ardents laïcistes, pro-israéliens et pro-sionistes.

Avec les crises de colère éclatant maintenant entre l’Iran d’un coté et Israël, l’Arabie Saoudite et les Etats-Unis de l’autre, en résultat d’une affirmation douteuse par la police US que l’Iran préparait l’assassinat de l’ambassadeur saoudien aux Etats-Unis sur le sol américain, la relation de longue date, étroite mais secrète, entre Israël et l’Arabie Saoudite arrive maintenant au premier plan. La connexion israélo-saoudienne avait fleuri durant l’OPERATION TEMPÊTE DU DESERT, quand les deux pays furent la cible des missiles Scud de Saddam Hussein.

Partie II

Ce qui surprendra ceux qui ont peut-être déjà été surpris par les liens des  Dönmeh avec la Turquie, c’est les  liens des Dönmeh avec la Maison des Saoud en Arabie Saoudite.

Un rapport top-secret des Mukhabarat irakiens (Directorat du Renseignement Militaire Général), « L’émergence du wahhabisme et ses  racines historiques », daté de  septembre 2002 et publié le 13 mars 2008 par l’Agence américaine de Renseignement pour la Défense [U.S. Defense Intelligence Agency] en traduction anglaise, indique les racines dönmeh du fondateur de la secte wahhabite saoudite de l’islam, Muhammad ibn Abdul Wahhab. Une grande partie des informations sont tirées des mémoires d’un « Mr. Humfer » (ainsi orthographié dans le rapport de la DIA, mais orthographié « Mr. Hempher » dans les archives historiques), un espion britannique qui utilisait le nom de « Mohammad », et qui était soi-disant un Azéri parlant le turc, le persan et l’arabe et qui prit contact avec Wahhab au milieu du XVIIIe siècle avec l’idée de créer une secte de l’islam qui provoquerait finalement une révolte arabe contre les Ottomans et qui préparerait la voie pour l’introduction d’un Etat juif en Palestine.  Les mémoires de Humfer sont citées par l’auteur et amiral ottoman Ayyub Sabri  Pacha dans son ouvrage de 1888, The Beginning and Spreading of Wahhabism.

Dans son livre The Dönmeh Jews, D. Mustafa Turan écrit que le grand-père de Wahhab, Tjen Sulayman, était en fait Tjen Shulman, un membre de la communauté juive de Bassora en Irak. Le rapport des Renseignements irakiens dit aussi que dans son livre, The Dönmeh Jews and the Origin of the Saudi Wahhabis, Rifat Salim Kabar révèle que Shulman s’établit finalement dans le Hedjaz, dans le village de al-Ayniyah dans ce qui est aujourd’hui l’Arabie Saoudite, où son petit-fils fonda la secte wahhabite de l’islam. Le rapport des Renseignements irakiens dit que Shulman avait été banni de Damas, Le Caire et La Mecque à cause de son « charlatanisme ». Dans le village, Shulman engendra Abdul Wahhab. Le fils d’Abdul Wahhab, Muhammad, fonda le wahhabisme moderne.

Le rapport irakien fait aussi quelques affirmations stupéfiantes sur la famille des Saoud. Il cite le livre d’Abdul Wahhab Ibrahim al-Shammari, The Wahhabi Movement: The Truth and Roots, qui dit que le roi Abdul Aziz Ibn Saoud, le premier monarque du Royaume d’Arabie Saoudite, descendait de Mordechai ben Ibrahim ben Moishe, un marchand juif également originaire de Bassora. Dans le Nedjd, Moishe rejoignit la tribu des Aniza et changea son nom en Markhan ben Ibrahim ben Moussa. Finalement, Mordechai maria son fils, Jack Dan, qui devint Al-Qarn, à une femme de la tribu des Anzah du Nedjd. De cette union naquit la future famille Saoud.

Le document des renseignements irakiens révèle que le chercheur Mohammad Sakher fut l’objet d’un contrat de meurtre des Saoudites à cause de ses recherches sur les racines juives des Saoud. Dans le livre de Said Nasir, The History of the Saud Family, il est affirmé qu’en 1943, l’ambassadeur saoudite en Egypte, Abdullah ben Ibrahim al Muffadal, paya Muhammad al Tamami pour forger un arbre généalogique montrant que les Saoud et les Wahhab étaient une seule famille qui descendait directement du Prophète Mahomet.

Au commencement de la Première Guerre mondiale, un officier britannique juif d’Inde, David Shakespeare, rencontra Ibn Saoud à Riyad et conduisit plus tard une armée saoudite qui vainquit une tribu opposée à Ibn Saoud. En 1915, Ibn Saoud rencontra l’envoyé britannique dans la région du Golfe, Bracey Cocas. Cocas fit la proposition suivante à Ibn Saoud : « Je pense que c’est une garantie de votre durabilité autant que c’est dans l’intérêt de la Grande-Bretagne que les Juifs aient un foyer national et une existence [nationale], et les intérêts de la Grande-Bretagne sont, par tous les moyens, dans votre intérêt ». Ibn Saoud, le descendant des Dönmeh de Bassora, répondit : « Oui, si mon acceptation est si importante pour vous, j’accepte mille fois d’accorder un foyer national aux Juifs en Palestine ou ailleurs qu’en Palestine ». Deux ans plus tard, le Secrétaire britannique aux Affaires Etrangères Lord Balfour, dans une lettre au baron Walter Rothschild, un dirigeant des sionistes britanniques, déclara : « Le gouvernement de Sa Majesté regarde avec faveur l’établissement en Palestine d’un foyer national pour le peuple juif… ». Le pacte avait l’appui tacite de deux des acteurs majeurs de la région, tous deux descendants des Juifs dönmeh qui soutenaient la cause sioniste, Kemal Atatürk et  Ibn Saud. La présente situation au Moyen Orient devrait être vue sous ce jour, mais pour des raisons évidentes l’histoire de la région a été expurgée par certains intérêts religieux et politiques.

Après la Première Guerre mondiale, les Britanniques facilitèrent l’arrivée au pouvoir du régime des Saoud dans les anciennes provinces du Hedjaz et du Nedjd de l’Empire ottoman. Les Saoud établirent le wahhabisme comme la religion d’Etat du nouveau Royaume d’Arabie Saoudite et, comme les Dönmeh kémalistes en Turquie, commencèrent à s’opposer à d’autres croyances et sectes islamiques, incluant les sunnites et les chiites. Les Saoud wahhabites accomplirent ce que les Dönmeh kémalistes avaient réussi à accomplir en Turquie : un Moyen Orient fracturé qui était mûr pour les desseins impérialistes occidentaux, et firent le travail préparatoire pour la création de l’Etat sioniste d’Israël.

Etats profonds et Dönmeh

Durant deux visites en Turquie en 2010, j’eus l’occasion de discuter de l’« Etat profond » [appareil clandestin] de l’Ergenekon avec d’importants officiels turcs. Il était plus qu’évident que des discussions sur le réseau de l’Ergenekon et ses connexions « étrangères » sont un sujet hautement sensible. Cependant, un important officiel turc des Affaires étrangères me glissa aussi qu’il y avait d’autres « Etats profonds » dans les nations voisines, et les noms de l’Egypte, de l’Arabie Saoudite, de la Jordanie et de la Syrie furent mentionnés. Au vu des liens entre l’Ergenekon et les Dönmeh en Turquie et des liens étroits dans le domaine militaire et dans celui du renseignement entre les Saoud descendants des Dönmeh et les wahhabites en Arabie, les rapports évoquant des liens étroits entre l’ex-président égyptien Hosni Moubarak et son chef des renseignements Omar Suleiman et le gouvernement de Binyamin Netanyahu en Israël peuvent être vus sous un jour entièrement nouveau… Et cela expliquerait le soutien d’Erdogan à la révolution égyptienne : en Turquie, c’est une révolution démocratique qui réfréna l’influence des Dönmeh. L’influence des salafistes wahhabites dans le nouveau gouvernement de la Lybie explique aussi qu’Erdogan avait hâte d’établir des relations avec les rebelles basé à Benghazi – pour aider à supplanter l’influence des wahhabites, les alliés naturels de ses ennemis, les Dönmeh (l’Ergenekon) de Turquie.

Le désir d’Erdogan de remettre les pendules à l’heure en restaurant l’histoire expurgée par les kémalistes et les Dönmeh lui a valu des déclarations au vitriol de la part du gouvernement d’Israël, comme quoi il serait un néo-ottomaniste qui aurait l’intention de former une alliance avec les Frères Musulmans dans les pays arabes. Il est clair que les Döhmeh et leurs frères sionistes en Israël et ailleurs craignent que le révisionnisme historique dönmeh et sioniste, incluant leur rôle dans le génocide des Arméniens et des Assyriens, et leur négation du génocide, soient révélés.

En Egypte, qui était autrefois un royaume ottoman, c’est une révolution populaire qui chassa ce qui pourrait être l’équivalent des Dönmeh concernant le régime Moubarak. Le « Printemps arabe » égyptien explique aussi pourquoi les Israéliens se hâtèrent de tuer six policiers égyptiens peu après que neuf passagers turcs aient été tués à bord du Mavi Marmara, certains quasiment exécutés, par des soldats israéliens. La doctrine dönmeh est remplie de références aux Amalécites de l’Ancien Testament, une tribu nomade qui fut attaquée par les Hébreux d’Egypte sur l’ordre du Dieu juif, pour faire place aux partisans de Moïse dans la région sud de la Palestine. Dans le Livre des Juges, Dieu ordonne sans succès à Saül : « Maintenant va et frappe Amalek et voue à la destruction tout ce qu’ils ont. Ne les épargne pas, mais tue les hommes, les femmes et les enfants, les bœufs et les moutons, les chameaux et les ânes ». Les Dönmeh, dont la doctrine est aussi présente dans la secte hassidique et dans d’autres sectes orthodoxes du judaïsme, semblent n’avoir aucune difficulté à remplacer les Amalécites par les Arméniens, les Assyriens, les Turcs, les Kurdes, les Egyptiens, les Irakiens, les Libanais, les Iraniens et les Palestiniens pour mener leurs agressions militaires et leurs pogroms.

Avec des gouvernements réformistes en Turquie et en Egypte beaucoup plus désireux d’examiner le passé de ceux qui ont divisé le monde islamique, Atatürk en Turquie et Moubarak en Egypte, les Saoud sont probablement tout à fait conscients que c’est seulement une question de temps avant que leurs liens, à la fois modernes et historiques, avec Israël soient pleinement révélés. Ceci explique que les Saoud aient réussi à mettre en œuvre un complot douteux impliquant des agents du gouvernement iranien pour tenter d’assassiner l’ambassadeur saoudite à Washington, dans un restaurant non-nommé de Washington D.C. Le rapport des renseignements irakiens aurait pu faire allusion aux sionistes et aux Dönmeh lorsqu’il déclarait : « cela vise… [au] meurtre des musulmans, à la destruction, et à favoriser l’agitation ». En fait, le rapport des renseignements irakiens parlait des wahhabites.

Une liberté nouvelle existant en Turquie et en Egypte pour examiner leur passé, Israël et ses partisans, ainsi que les Saoud, ont des raisons supplémentaires de dissimuler la véritable histoire de l’Empire ottoman, de la Turquie laïque, des origines d’Israël, et de la Maison des Saoud. Divers acteurs recherchant maintenant la guerre avec l’Iran, la vraie histoire des Dönmeh et leur influence sur des événements passés et actuels au Moyen Orient devient plus importante.

NDT :

T. E. Lawrence (plus connu sous le nom de « Lawrence d’Arabie ») décrivit le mouvement Jeune Turc comme étant « 50% crypto-juif et 95% franc-maçon ».

D’autres auteurs confirment cela :

« Ils [Les Dönmeh] ont fourni de nombreux membres à l’intelligentsia des Jeunes Turcs… Ils ont joué un rôle important dans les débuts du Comité Union et Progrès, organisation du mouvement Jeune Turc qui eut son origine à Salonique… » (Gershom Sholem, Le messianisme juif, 1971)

« Il est intéressant de rappeler que les trois principaux membres du gouvernement ‘Jeune Turc’ – Enver Pacha, Talaat Pacha, et Essad Pacha – étaient trois Juifs d’origine dont les familles avaient été ‘converties’ à l’islam. » (Savitri Devi, Souvenirs et réflexions d’une Aryenne, 1976)

Ttraduction du texte anglais paru sur Gnostic Liberation Front: www.gnosticliberationfront.com

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 



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9 avril 2014 3 09 /04 /avril /2014 00:02

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

??????Avion disparu: passagers vivants, détenus en Afghanistan !!!

 

 

IRIB-selon un journal russe qui se réfère aux certaines sources,
l'avion de ligne malaisien disparu le 8 mars alors qu'il reliait la capitale malaisienne à Pékin serait détourné, les passagers en seraient vivants et détenus quelque part près de Kandhar en Afghanistan.ce seraient des extrémistes takfiris qui auraient détourné le vol . Al Qaida aurait entrainé les pilotes qui auraient conduit l'avion vers l'Afghanistan . les passagers sont détenus dans des cabanes sans nourriture . 20 experts chinois à bord du vol seraient emprisonnés dans des caves au Pakistan voisins et les preneurs d'otage disent vouloir entrer en pourparlers avec les chinois et les américains car l'appareil compterait aussi 20 officiers US au nombre de ses passagers.

Ukraine /Syrie : Poutine met en garde Pékin !!
IRIB- l'homme fort du Kremlin est inquiet et il aime que son partenaire chinois le soit .
.. "il est possible que les extrémistes ( takfiris , néonazis...) prennent d'assaut la Russie et les autres pays membres de la communauté des états indépendants " a averti lundi Poutine. " la décision des terroristes ( takfiris) d'employer certains citoyens russes et issus de la CEI (Chine,  pays centre-asiatiques ..) est un avertissement et motif de profondes inquiétudes . ces terroristes se battent aujourd'hui en Afghanistan et en Syrie et ailleurs . ce sont des gens entrainés , soumis à un lavage de cerveau . .. nos informations le confirment .. la Russie, les pays de la CEI constituent des prochaines cibles de ces terroristes d'où la nécessité d'être sur la défensive et de mener des attaques préventive. la communauté des états indépendants tout comme l'organisation de coopération de Shanghaï et autres collectifs devront collaborer étroitement et synergiquement à l'effet de lutter contre le terrorisme" Poutine a rappelé ensuite les attentats de Volgograd au sud de la Russie en 2013 : " les terroristes cherchent à étendre leurs activités au Caucase du nord pour ensuite se diriger vers la Russie. ce sont des gens qui sèment la discorde entre les différentes religions et confessions et qui attirent malheureusement les jeunes " . selon les analystes, cet avertissement de Poutine s'adresse entre autre à la Chine dont la politique ukrainienne ne plait pas à Moscou.


Moyen Orient : le "réseau" dont a peur Israël !!!
IRIB- Sur l'Irib , vous lisez "axe de la résistance" , dans la bouche du chef d'état major sioniste, c'est " le réseau" !!
l'intéressé qui s'exprimait devant ses soldats dans une base militaire , Tal Nouf, affirme qu'Israël se trouve dans l'obligation de procéder à de profonds changements dans ses priorités nationales et militaires en raison des modifications essentielles qui se font en ce moment au Moyen Orient". Benny Gantz a appelé à une face è à face sans merci contre " les ennemis d'Israël  " qui " sont en train de former un puissant réseau contre nous et contre quoi Israël devra toujours se tenir prêt " Gantz qui se réfèrait vraisemblablement aux propos de Nasrallah accordés lundi à AsSafir, a souligné : " l'ére nouvelle qui vient de s'ouvrir au Moyen Orient , met israël devant de nombreux défis internes et externes . au nombre de ces défis, il y a celui lié à notre capacité de combat " a dit le général avec une dose de réalisme. Nasrallah a revendiqué les attaques de ces derniers temps contre les militaires sionistes au Golan, ce qui signifie pour Israël la fin de l'état de la " fête" au Golan. Israël occupe depuis 40 ans le Golan et pendant ce temps , il n'a pas eu de souci sécuritaire à se faire de ce côté là. sa guerre contre la Syrie qui se traduit entre autre à travers le soutien militaire , logistqiue et médicale qu'il apporte aux terroristes takfiris au Golan a définitivement mis un terme à cet état de ésérénité factice"

Syrie:

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4 avril 2014 5 04 /04 /avril /2014 09:47

libye résultat du coup d'état de l'otan bras armé de l'empire

 

 

 


Quand la Russie force à la guerre contre le dollar!

 

IRIB-Au départ de l’épisode, il y a une action unilatérale de la banque US JP Morgan (JPM)
bloquant un transfert d’argent russe au nom de la “politique des sanctions”, ou, plus largement dit car le lien formel n’est nullement établi, au nom de la “philosophie“ de la “guerre des sanctions”. Le site ZeroHedge fut le premier à s’intéresser à cette affaire, le 1er avril. Il y revint le 2 avril 2014, lorsqu’il apparut que cette affaire prenait de l’extension...

Effectivement, la réaction russe officielle de la part du ministère des affaires étrangères (Alexander Loukachevitch, porte-parole) a été particulièrement furieuse, assortie de l’hypothèse largement substantivée que JPM a voulu jouer “perso” dans cette affaire .....

• Hier, une autre nouvelle était annoncée, concernant un marché pétrolier entre la Russie et l’Iran qui se ferait selon des moyens de transaction spécifiques hors du pétrodollar ( un marché de $20 milliards, de pétrole contre “biens divers”). A nouveau, ZerioHedge publiait son commentaire, le 2 avril 2014, reprenant et confirmant un commentaire du jour précédent, où l’on passait de la dimension financière à la dimension géostratégique fondamentale, en même temps qu’il était clairement question du sort du dollar dans les transactions internationales, essentiellement sur l’énergie.

....

• Nombre de commentaires, des plus sérieux aux plus exotiques, et d’ailleurs sans nécessairement se référer précisément à l’incident-JPM, mettent en évidence la capacité russe à porter l’affrontement sur ce terrain de l’attaque contre le dollar. Alors que la situation en Ukraine a paru se stabiliser peu après le référendum criméen, mais reste tributaire d’une conjoncture extrêmement volatile dans le pays (en “Ukraine moins Crimée”) et dans le chef de la direction américaniste dont l’incertitude et l’absence de contrôle centralisateur est une fois de plus le caractère central, la persistance des spéculations dans ce domaine de la question du dollar/du pétrodollar est un signe de la place considérable que cette option occupe dans les esprits. A lire, par exemple, le passage que lui consacre Eric Draitser dans la longue analyse qu’il consacre, le 2 avril 2014 sur Russia Today, à la question de la “guerre des sanctions”, en concluant que les Russes sont extrêmement bien placés pour riposter avec une efficacité dévastatrice.

.....

• Il n’est jusqu’à l’exotique site de “Sorchal Faal” (What Does It Means”), dont nous avons déjà souvent parlé pour préciser qu’au milieu d’un amoncellement d’analyses farfelues et manifestement développées pour semer la confusion, pouvaient se glisser des indications plus sérieuses selon une technique qu’on pourrait nommer dite de “désinformation positive” si l’on admet qu’il y a une intention là-dessous. (Voir notamment le 19 mars 2013 et le 15 juillet 2013, des articles sur deux différents sujets, avec d’autres sources bien entendu, mais mentionnant aussi “Sorcha Faal”, en précisant l’analyse qu’on peut faire de ce site.) Dans ce texte du 2 avril 2014, et à côté d’informations qu’on retrouve un peu partout concernant l’action de le JPM, on trouve quelques phrases inédites concernant le projet Double Eagle, – tout cela à partir d’un “shocking report” venu de Moscou...

 

Comme on le voit, tout est mis en activité dans le système de la communication, des nouvelles les plus précises aux analyses les plus larges, aux scénarios les plus exotiques, pour nous faire comprendre que cette affaire de “Russie versus $” est désormais un domaine bien établi de l’affrontement général engendré par la crise ukrainienne. Il n’est nullement assuré que les prémisses du vaste contexte où circule la chose aient été calculées et machinées dans le cadre d’une également vaste manœuvre, comme notre raison si tentée par les montages secrets à allure complotiste serait tentée de le croire. Certaines sources à Washington assurent que l’initiative de la JPM (avec auparavant l’incident des sociétés de cartes de crédit Visa et MasterCard interrompant momentanément leurs paiements en Russie) sont des initiatives privées répondant à ce que ces entreprises privées perçoivent comme des pressions de l’administration dans le sens de mesures calibrées d’avertissement de sanctions (un peu dans le sens de ce qu'évoque le porte-parole Loukachevitch,) ; avec la précision qu’il y a fort probablement erreur ou incompréhension de ce point de vue, ou bien même situation d’incontrôlabilité, tant l’attitude de l’administration Obama vis-à-vis des sanctions, comme vis-à-vis de la Russie en général, est incertaine, flottante, confuse, avec des initiatives parcellaires et incontrôlées venues de certains départements ou agences sans consignes centrales... Il n’empêche que l’effet en Russie est très net et précis, fondé sur l’idée que “tout se passe” comme si ces diverse initiatives étaient complètement prises au sérieux, car la Russie ne peut se permettre la moindre erreur de complaisance à cet égard.

Nous ne cacherons pas que c’est cette hypothèse de la confusion et désordre du côté US que nous favorisons, puisque cette attitude est, depuis quelques années, constante à cet égard, et que la politique US vis-à-vis de l’Ukraine/de la Russie, depuis des mois, ne cesse d’accumuler des maladresses, des mesures à courte vue, l’absence complète d’une perception stratégique à long terme de ce qu’il faut faire, et d’une façon générale une extraordinaire absence de coordination et de complémentarité entre les différents centres de pouvoir. Mais la Russie se fiche bien de ces explications. Ce qu’elle voit, ce sont ces mesures parcellaires, effleurant les options les plus radicales parmi les sanctions possibles, qui ne cessent de l’alarmer et de la convaincre qu’il faut songer à réagir avec vigueur, si nécessaire en prenant l’initiative pour éviter de subir les effets d’une attaque ou l’autre aurait l’initiative.

Le scénario est toujours le même dans cette crise ukrainienne, – comme dans celles quoi ont précédés et celles qui l’accompagnent : un bloc BAO qui agit dans le domaine de la communication, selon l’image qu’il a de lui-même d’une puissance hors du commun et inexpugnable, baignant dans son jus replet de suprématisme, sans aucune leçon apprise de sa vertigineuse succession d’échecs depuis quinze ans, et convaincu que les meilleures mesures à prendre sont d’intimidation, si possibles non coordonnées avec les autres acteurs de son camp, et si possible sans la moindre stratégie, – et mieux encore, si possible sans les moyens pour substantiver les menaces qu’on laisse ainsi planer. (Les manœuvres militaires de l’OTAN en Ukraine sont du même ordre, provocations sans substance, activatrices de tension qu’on ne peut soutenir, menaces déployées au vu et au su de tous sans aucun moyen réel de jamais les substantiver.) Et si le scénario est toujours le même, le résultat est également toujours le même : la Russie, qui n’est pas dans le seul domaines de la communication mais au contraire dans celui très concret de sa sécurité fondamentale, réagit en renforçant son dispositif, en bronzant sa résolution, en préparant sa riposte, et s’il le faut en agissant avec décision, voire en agissant préemptivement si le bon sens stratégique y invite. On entendra reparler, et bien vite probablement, de ces manœuvres dont l’effet essentiel est de rendre de plus concevables, de plus en plus possibles, de plus en plus souhaitables l’une ou/et l’autre attaque contre le dollar. La Russie va finir par admettre, sans beaucoup d’efforts pour convaincre ses amis des BRICS, que la meilleure façon de procéder avec les manœuvres grossières et fantasmées du bloc BAO, c’est de faire comme si elles étaient fondées après tout, et d’y riposter d’une manière décisive.


 

 

ALERTE ! Mini krash boursier aux Etats-Unis: Vendredi noir à la bourse américaine
nasdaq

 

Grincements des dents. Stupeur et tremblements. Tout est entrain de mal se passer aux Etats-Unis. La bourse vient de clôturer à la baisse. Et quelle baisse !  Tout va mal, de la Philadelphia Company, au Fonds de croissance Midcap, en passant par la Chase. La chaîne CNBC par la voix de Herb Greenberg, s’inquiète.

 

Grand bruit ce vendredi, avec le Nasdaq qui évite de justesse sa pire perte au cours d’une journée. Le Dow Jones et S & P 500 ont aussi terminé loin de leurs niveaux records, des résultats très décevants.

  Nom Prix   Changement Variation en%
DJIA Dow Jones Industrial Average 16412,71   -159,84 -0,96%
S & P 500 S & P 500 Index 1865,09   -23,68 -1,25%
NASDAQ Nasdaq Composite 4127,73   -110,01 -2,60%

 


Lattaquié : la Jordanie complice d'Erdogan?!

 

IRIB- La Jordanie est impliquée dans l'intensification des affrontement dans la localité de Kessab à Rif de Lattaquié en Syrie, ont révélé des sources d'information.

Ces derniers jours des milliers de terroristes se sont rendus depuis de la Jordanie en Turquie pour participer à ces affrontements.  Le soutien aux éléments soi-disant « djihadiste » impliqués dans des affrontements à Rif Nord de Lattaquié en Syrie  ne se limite pas, semble-t-il, à la Turquie,  car des rapports parvenus font étant  d'un pont aérienne entre la Jordanie et la Turquie pour le transfert des terroristes, entrainés déjà sur le sol jordanien. Les informations existantes établissent l'implication accrue et active de la Jordanie dans les affrontements à Kessab et ses alentours. Selon ces informations le transfert de ces éléments soi-disant djihadiste s'effectue via un pont  aérien reliant  l'aéroport Maraka à Amman, capitale jordanienne à l'aéroport d'Antioche en Turquie dans la localité Lawa Eskandaroun. Ces 3 derniers jours, plus d'un millier d'éléments djihadistes ont été transférés à Rif Nord de Lattaquié en Syrie pour participer à la bataille Anfal , a annoncé une source opposante syrienne en présentant des documents à l'appuie de ces révélations. Ces informations sont également confirmé par des sources jordaniennes dignes de foi, selon cette source. Les terroristes venus de la Jordanie et impliqués dans la bataille Anfal sont de différentes nationalités dont saoudienne, jordanienne et syrienne.  Un groupe d'éléments qui avait auparavant été transféré en Syrie, a été formé dans certaines casernes dans la localité d'al-Rasayafa, dans le Nord d'Amman, or la formation et le transfert de ces éléments s'effectuent seulement sous la supervision des services de renseignement des Etats-Unis, a précisé cette source au quotidien al-Akhbar. la bataille turco-takfirie est une bataille de substitution visant à ouvrir un nouveau front au nord en lieu et place du front du Sud des territoires jordaniens, a-t-elle ajouté. Les éléments soi-disant djihadistes rejoignent depuis leur caserne  leurs homologues en Turquie  avant d'entrer via la frontière turque  en Syrie , selon ce quotidien. La plupart des homologues de ces soi-disant djihadistes sont des ressortissants tchétchènes, qui se distinguent par des années d'expériences de guerre.


Le système de positionnement Russe mystérieusement hors service
Le GLONASS, système de positionnement de haute précision satellitaire russe équivalent du GPS, dont dépendent plusieurs armée dans le monde et qui sert au guidage d'innombrables équipements et au positionnement des troupes russes, a subi un très sérieux blackout dans la nuit du 1er au 2 avril.
C'est le site web du système qui l'annonce, via sa page de monitoring, 8 des 24 satellites de la constellation ont affiché des défaillances graves, et tous ont eu un épisode critique les 2 avril ente 2h et 10h du matin (heure de Moscou).
Il n'y a pas eu pour l'instant d'explication concernant cette panne mystérieuse mais vu les événements en Ukraine, il n'est pas impossible de pense qu'il s'agit d'un acte malveillant, qui serait le cas échéant, pris par Moscou comme une véritable déclaration de guerre. 
La réparation a eu lieu ce matin et le système marche normalement. La durée des troubles s'explique par le fait que l'intervention pour la réparation des satellites se fait lors de leur passage à la verticale de leur station de base.

et pour rire dieudo porte parole des sans voix

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2 avril 2014 3 02 /04 /avril /2014 00:00

 

 

 

 


 

syrie:

 

 

Lattaquié : La force élite d'Assad à Kassab?!

 

 

IRIB-les forces de l'armée arabe syrienne et des comités populaires ont lancé

une vaste offensive de ratissage lundi soir dans le nord de lattaquié. la force élite de l'armée syrienne est présente dans cette opération . un autre point caractéristique : les habitants de Lattaquié sont mobilisés pour aider les soldats de l'armée nationale. la force élite d'Assad a pour nom " les aigles du désert" . ce sont des forces ultra compétentes et capables de combattre dans des conditions extrêmes . depuis lundi, elle se trouve dans la banlieue nord de Lattaquié. ce fut après l'inervention de cette force que la colline stratégique 45 est tombée , théâtre ces derniers jours de très violents combats entre les takfiris et les soldats syriens

 


Syrie : les "passages de la mort " sous contrôle du Hezbollah!

 

IRIB- Quel a été dans les faits , les conséquences de la victoire du Hezbollah à Qalamoun?
Al Akhbar consacre une analyse à la réponse de cette question affirmant que les combattants du Hezbollah et les soldats de l'armée syrienne ont tour à tour libéré Yabroud, Falita et Raas al Mara . " l'importance stratégique de Falita n'est pas moindre que celle de Yabroud. car il se trouve au carrefour des voies de trafics d'armes et de munitions à destination des terroristes au Liban et en Syrie. en ce sens, l'armée surienne et le Hezbollah ferment désormais toutes les passages de la mort par où étaient trafiquées des voitures piégées vers le Liban. l'un des commandants de l'armée syrienne affirme : " Falita fait partie des points de croisement les plus importants entre la Syrie et la région d'Ersal au Liban ainsi que les régions de Al Zabdani et de Ghouta en Syrie. les terroristes circulent entre Erssal et Falita avant de se rendre dans d'autres régions de la Syrie.  la présence de 4 hôpitaux de campagne à Falita le montre très bien , cette région a été l'un des lieux de concentration des terroristes . deux deces quatres hôpitaux sont très équipés . des dizaines de terroristes y sonrt enterrés avant l'arrivée des forces loyalistes. . après la libération de Yabroud , l'armée syrienne a continué ses opérations à Falita et à Yabroud et des dizaines de terroristes ont été tués , tous membres d'Al Nosra" " depuis le nettoyage de cette localité l'armée syrienne et le Hezbollah contrôlent les quatre points de passage de Falita vers Erssal dont le plus important, An Al Hamra qui est en effet la principale artère libano syrienne. cette voie de transite est surnommé le passage de la mort tant a été grand ici le trafic de voitures piégées vers le Liban. l'axe Hezb.Assad a bloqué depuis le début du conflit  quelques 18 points de passage zntre Erssal et la Syrie . ces points de passage se trouvent à Qusseir, Jarajir, Falita et Raas al Marat . l'armée syrienne a ainsi écarté la menace contre la banlieue de Damas et a coupé la principale voie d'approvisionnement des terroristes à Homs. eta écarté la menace contre les frontières est du Liban. l'armée syrienne et la garde présidentielle contrôlent les monts situés à l'est sur les frontières du Liban . les positions terroristes à Rankos et à Al Sarkha sont encerclés et elles vont être libérées très bientôt . après Rankos, ce sera le tour de Assal al Ward, de Housh Arab , de Zobdani de Maloula d'être libérés .

 

 


 

Pourquoi l'Iran a-t-il choisi de soutenir Assad?

 

IRIB- "L'Iran est une vraie puissance. c'est un pays présent jusqu'à l'est de la Méditerranée.
C'est notre logique à nous de maintenir une présence aussi large que possible. mais l'Iran n'est pas un Etat impérialiste. Jamais et nulle part, il n'a agir de la même manière que ses ennemis , jamais et nulle part , il ne s'est imposé via la force, la guerre, le sang ou l'argent. c'est sa culture, sa pensée , sa vision du monde qui séduit , qui pénètre les esprits, qui convainc. en Syrie, c'est la même chose. la Syrie est au cœur de la grande Bataille. et l'Iran s'est placé à ses côtés envers et contre tout " le général Soleymani.


ces phrases du chef de la force Qods , force élite du Corps des Gardiens de la Révolution islamique, prononcés il y a deux semaines ont suscité de longs commentaires . Pourquoi l'Iran a-t-il choisi de soutenir Assad? à l'orée de la quatrième année de la guerre contre l'Etat syrien et alors que le conflit risque de virer en un conflit mondial avec l'intervention de l'Otan via les ingérences turques, la question pose en tout acuité. Hossein Riovaran , analystes iranien essaie d'y trouver des éléments d'une réponse :
" Aux premières semaines de ce que les occidentaux qualifient de révolution syrienne, l'Iran a opté pour une politique d'attente. c'est vrai que dans la foulée du printemps arabe, les peuples de la région avaient été comme balayés par un vent de revendications démocratiques. l'Iran a prêté au peuple syrien quand celui ci protestait le régime unipartite en Syrie où qu'il appelait à la tenue des élections libres , à la fin de l'omnipotence du parti baath?. pour les iraniens , eux même à l'origine de l'une des plus grandes révolution du 20eme siècle, ces revendications semblaient à la fois juste et digne de respect et d'intérêt. l'Iran a donc exhorté le gouvernement syrien à entrer en interaction avec l'opposition et il a eu même l'initiative d'en convier les représentants à Téhéran pour trouver un terrain d'entente et de dialogue et favoriser le terrain à un changement pacifique et démocratique. Assad s'est résigné à cette logique qui veut qu'un Etat soit polyphonique. il a révoqué l'article huit ( unipartisme) de la constitution et soumis au référendum la loi fondamentale amandée .son cabinet s'est élargi et l'opposition a pu y trouver sa place./ son argument a été d'ailleurs parfaitement plausible : Assad veut finir son mandat et quiiter le pouvoir, le cas échéant via un vote populaire. or la rue contestataire a été très vite investie par des fauteurs de trouble puis par des terroristes .l'insistance de ceux des opposants qui dictaient leurs revendications depuis leur lieu de résidence en Occident sur la nécessité de renverser Assad, les ingérences américaine, européenne, saoudienne turque, jordanienne e qatarie en Syrie via l'envoie d'armes et de munitions ont littéralement changé la donne et décidé l'Iran à opter pour Assad. la suite des événements a confirmé la justesse du choix de l'Iran. Au Yémen, en Tunisie, en Egypte à Bahreïn , les populations s’aspiraient à l’établir un ordre démocratique où toutes les couches de laz société aient voix au chapitre. Les pseudo révolutionnaires syriens , eux, ont voué dès le début aux gémonies des minorités chrétiennes, alaouites , turkmènes … l’ordre politique qu’ils cherchaient à mettre en place était quelque chose entre le wahhabisme et le takfirisme, soit deux pensées obscurantistes . les révolutions arabes étaient rassembleuses , la pseudo révolution syrienne, divisitionniste ! ces faits ont convaincu l’Iran d’une chose : en Syrie, se préparait un complot contre l’axe de la Résistance dont Assad fait partie. Mais quelle a été la réaction de l’Iran ? les Pasdarans combattent –ils  sur le terrain les agents takfiris, ainsi que le prétendent les médias arabes et occidentaux ? non. Le soutien de l’Iran à l’armée syrienne face au complot international dont il fait l’objet consiste à lui transmettre les précieuses expériences de sa guerre , celle que l’Amérique lui a mené via Saddam et pendant huit ans , la plus guerre du vingtième siècle ! les comités de défense populaires créés aux premières semaines de la guerre en Syrie est une idée iranienne . est venu ensuite le Hezbollah qui s’est directement mobilisé aux côtés de l’armée syrienne . cette entraide a fini par porter sesfruits à Qusseir, à Homs, à Ghouta et à Alep . le camps de la guerre est aujourd’hui en retrait sur tous les fronts et les derniers succès militaires à Qalamoun en portent la preuve. Mais la Turquie semble décidée désormais à jouer la dernière carte , celle de l’Otan. Elle commet une grosse erreur si elle croit pouvoir gagner là où tous les autres ont échoué ;  

 


 


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25 mars 2014 2 25 /03 /mars /2014 01:32
Les navires russes en route pour Lattaquié !!!

 

 

 

IRIB- Après une noubvelle flambée de violence sur le front turco -syrien, les navires de guerre russe ont remis le cap sur Lattaquié en
Syrie. cette province syrienne est depuis quelques jours le théâtre de violents combats entre les militaires syriens et les terroristes que l'armée turque soutient activement à coup de pilonnage et voire de tir de missiles contre les avions syriens !! selon Al Nashra qui rapporte cette information, les navires russes , accostés au port de Tartous se dirigent en ce moment même vers le port de Lattaquié. à Lattaquié, les combats se poursuivent autour de la localité stratégique de Kassab . les soldats de l'armée syrienne encercklent la localité en question. ils y ont déjà liquidé des dizaines de terroristes.

ALERTE INFO. LIBYE: Saadi Kadhafi, dans un coma profond, hospitalisé d’urgence

 

 

ALERTE INFO. LIBYE: Saadi Kadhafi, dans un coma profond, hospitalisé d’urgence

Publié le mar 24, 2014 @ 16:22

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Saadi Kadhafi

Saadi Kadhafi

Le pouvoir nigérien a volontairement envoyé à la mort, un homme, Saadi Kadhafi. Son frère Saïf Al-Islam agressé physiquement en détention à Zenten, 180 km au sud de Tripoli, est encore en vie. Nous vous avions récemment parlé du cas du Saadi Kadhafi, qui avait été bastonné et torturé à tort. Ses geôliers voulaient visiblement lui soutirer des informations qu’il n’avait pas ou qu’il n’a pas. Encore une histoire d’argent caché on ne sait où. 

La responsabilité du régime corrompu du Niger avec la complicité de la France ne font aucun doute. Les pistes qui mènent à nos affirmations sont contenues dans nos précédents billets. Avec certitude, nous confirmons nos dernières informations. Selon nos derniers renseignements reçu à l’instant de nos sources libyennes, le fils Kadhafi a été conduit d’urgence a l’hôpital de Mitiga à Tripoli, section militaire. Il est en soins intensifs.

Une vraie honte pour les défenseurs des droits de l’homme, de la démocratie, et des autorités africaines…Son tort ? Son patronyme…Ils veulent exterminer toute une famille…

 

 


 

 

VIDEO. Journal de Syrie du 24/03/2014. La saignée des terroristes se poursuit encore

 

 

 

 


 

EFFET PAPILLON. Ukraine: des milliers de réfugiés ukrainiens fuient vers la Crimée

 

Par La Voix de la Russie – Des milliers de réfugiés ukrainiens sont arrivés en Crimée au cours de ces dernières journées. Le gouvernement étudie la question de construction de camps spéciaux, a annoncé le premier vice-premier de la république, Roustam Temirgaliev.

 

« Les citoyens ukrainiens traversent chaque jour la frontière entre la Crimée et l’Ukraine et demande de leur accorder la citoyenneté russe. 200 personnes arrivent en moyenne tous les jours », selon le M. Temirgaliev .

 

REAL POLITIK. La Haye: mission impossible pour le président américain Barack Obama

 

Hollande, Obama, Merkel et Cameron

Hollande, Obama, Merkel et Cameron

LA HAYE, Pays-Bas – D’un sommet nucléaire on est passé à un sommet ukrainien. Néanmoins, la présence de Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, qui participe au sommet sur la sécurité nucléaire, sera décisive sur le plan diplomatique. Les dirigeants des sept pays les plus industrialisés – États-Unis, Canada, Royaume-Uni France, Allemagne, Italie et Japon- se réunissent ce lundi 24 mars au soir à la résidence du Premier ministre néerlandais Mark Rutte pour accorder leurs violons et parler d’une seule voix de la crise ukrainienne. Une hérésie… 

En effet, lors de ce sommet à La Haye, le président américain Barack Obama voudra convaincre le président français de renoncer à des contrats de défense énormes avec la Russie, la chancelière allemande de compromettre les fournitures de gaz naturel, et les Britanniques d’accepter de perdre, potentiellement, des centaines de milliards de livres que les Russes ont apporté à la ville de Londres, à la City.

L’idéologie ne nourrit personne. Obama semble prendre ses rêves pour des réalités. La France, après la camouflet du premier tour des Municipales n’osera pas lâcher le marché russe quitte à permettre la montée exponentielle du chômage. A moins que, les chantiers navals de Saint Nazaire ne soient abandonnés et le premier ministre Jean-Marc Ayrault remercié. Quant aux Anglais, il est improbable qu’ils acceptent le diktat américain. Que dire de l’Allemagne ? Tous ces pays ont plus à perdre qu’à gagner. Mais, vont-ils se tirer une balle dans les pieds et faire la volonté de l’antéchrist Obama au détriment de leur peuple ? Nous verrons…

 

PROPAGANDE AMERICAINE. Ukraine: "la Russie prête à attaquer l’Ukraine à l’est"

 

 

Les passements de jambes de Barack Obama ne trompent personne. Montée en boucle, la nouvelle propagande américaine, alarmante à souhait, indique que  l’Ukraine affirme que les troupes russes sont prêtes à l’attaquer à tout moment et que le risque de guerre entre les deux pays s’accroît, pendant que l’armée russe renforce son emprise sur la Crimée. Une falsification alors que ce sont les Ukrainiens de l’est qui montrent leur volonté à rejoindre la Russie. La vraie question est de savoir à qui la faute ?  

Quand le clown et usurpateur fasciste Andrii Dechtchitsa "ministre ukrainien des Affaires étrangères" affirme sur la chaîne américaine ABC que:« La situation est même plus explosive qu’elle ne l’était il y a une semaine », c’est une légende urbaine. Les "qui" ont donc créé cette situation ? L’urgence est de rétablir les vrais droits, c’est à dire le rétablissement du président Viktor Ianoukovitch…Comment peuvent-ils penser qu’un coup d’état peut passer comme une lettre à la poste ? 

carteLe mensonge à l’optimum, chevillé au corps, Andrii Dechtchitsa déclare, toujours sur la chaîne américaine ABC « À l’heure actuelle, si des troupes russes envahissaient l’Ukraine depuis les régions orientales, il serait difficile de demander aux Ukrainiens vivant là-bas de ne pas répondre à cette invasion militaire ». De quels Ukrainiens parlent-ils ? Ne voient-ils point ce qui se passe à Odessa, Donetsz ou Khirkov ? Ceux qui manifestent en faveur de la Russie ne sont-ils pas Ukrainiens ? Ce déni les perdra !

À quelques encablures de là, en Pologne, on dit craindre l’arrivée des troupes russes. Paris s’engage même à envoyer deux avions. On atteint là, les sommets du mensonge. Ils ont créé le désordre en Ukraine et, incapables de pouvoir rétablir l’ordre, ils agitent le chiffon rouge. Lâches juqu’au bout des ongles, pour eux, la faute c’est toujours les autres. Amusant de voir ces nazillons entrer par effraction dans la tête de Poutine, comme ce soi-disant secrétaire du conseil de sécurité nationale et de défense de l’Ukraine, Andriï Paroubiï, qui déclare: «Le but de Poutine n’est pas la Crimée, mais toute l’Ukraine [...] Ses troupes massées à la frontière sont prêtes à attaquer à tout moment ».

Tout ce cirque nauséabond, après les envolées lyriques d’un conseiller à la sécurité nationale du président Barack Obama sur les ondes de CNN où, il évoque l’hypothèse d’une invasion russe dans l’est de l’Ukraine. En plein délirium tremens, l’Occident joue dans la surenchère pour faire croire qu’il a raison. Certains n’hésitent même pas à pousser le bouchon en invoquant une percée russe jusqu’en…Moldavie.

Secrètement, (voir carte du Washington Post au dessus), la présence depuis des années des forces russes en Transnistrie, où, il y a 440 soldats de maintien de la paix, fait même croire que, l’Ukraine est encerclée. Mais, quand on veut faire la guerre, il est urgent de prévoir ses arrières. Non, Moscou ne veut envahir personne mais ne laissera certainement pas les russophones et les russophiles se faire massacrer à Kiev. Les choses sont donc claires et le jeu morbide américain réduit les Européens en esclavage…

 

 

 

EXCLUSIF – UKRAINE. Face au bellicisme occidental, la Russie fait sortir son joker: l’Iran.

 

 

Comme le dit le proverbe africain: "Quand deux éléphants se battent, c’est l’herbe qui souffre." En effet, ceux qui essayent tant bien que mal d’exister auprès des Etats-Unis, la belle France et les autres comme l’Allemagne ou la Grande Bretagne, point de salut en s’opposant à la Russie. En réalité, les pro-Maïdan ont surestimé la puissance occidentale face à la Russie qui a encore de nombreuses armes, la Chine notamment, et surtout, l’Iran. Ambiance.

 

Lors de la rencontre entre le président américain Barack Obama et son homologue chinois Xi Jinping lundi à La Haye, ce dernier a été clair. Pour lui, il faut d’entrer oublier les questions concernant Taiwan et le Tibet. En d’autres termes, le Chinois a voulu dire à l’Américain que, quand il claironne sur l’intégrité territoriole de l’Ukraine, il faut qu’il pense aussi à celle de la Chine car, la Chine considère que Taïwan c’est la Chine, le Tibet aussi.

Piégés sur ce coup-là, les Etats-Unis ont dit leur volonté de traiter de manière constructive leurs divergences et désaccords avec la Chine, et de travailler avec Beijing à envoyer des signaux positifs montrant que les deux parties sont engagées à promouvoir leurs relations, a déclaré M. Obama. Conscient que les perspectives russes et chinoises ont le vent en poupe, ne pouvant sanctionner durablement la Russie économiquement, l’Occident a préféré sanctionner des individus. A cette folie, la Russie a répondu aussi fermement, aux Etats-Unis et au Canada. Moquée par les Américains, les autorités russes, critiquant leur arrogance ont donc sorti du chapeau, l’Iran.

Un fonctionnaire russe du ministère de la Défense, sous couvert d’anonymat, précisant que Moscou n’avait aucun intérêt que l’Iran obtienne une bombe nucléaire ou qu’une escalade des tensions dans le Golfe augmente, a déclaré: "Si l’Ouest poursuit ses provocations, notamment les Etats-Unis, nous allons nous tourner vers le marché iranien et casser l’embargo imposé par les Etats-Unis que nous respectons simplement pour ne pas les mettre en difficulté. Nous participons, entre autres, aux négociations sur le nucléaire iranien". Crainte de Washington, qui croyait qu’il était le seul capable de proférer des menaces. Les experts sont maintenant préoccupés par le possibilité de nouvelles ventes d’armes russes, sans contrôle, à la Syrie ou à l’Iran, en particulier, le système de missile de défense aérienne le plus puissant du monde, le S-300. En effet, en 2010, sous la pression américaine, la Russie avait annulé la livraison à l’Iran.

Ainsi, selon Cliff Kupchan, analyste chez Eurasia Group, ce serait une grande catastrophe et l’Iran aura son nucléaire coûte que coûte: «C’est la seule carte qu’ils [les Russes], ont, le S-300. Ceci peut véritablement changer la donne. Ce serait, primo, réduire la capacité d’Israël d’attaquer l’Iran, deusio, il pourrait développer aisément son nucléaire sans que personne ne soit capable de l’attaquer". Les analystes de pacotille occidentaux, estampillés "experts", n’avaient sans doute pas vu cette carte que Moscou vient de faire sortir de son chapeau de magicien.

 


 

 

 

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21 mars 2014 5 21 /03 /mars /2014 19:24
L’OTAN sur la défensive face à la Russie
L’OTAN sur la défensive face à la Russie

Par La Voix de la Russie | L’OTAN se remet, semble-t-il, du choc suscité par l’évolution impétueuse de la situation autour de l’Ukraine et de la Crimée.

Le secrétaire général de l’Organisation Anders Fogh Rasmussen a consacré presque entièrement à la Russie son allocution prononcée le 19 mars à la Brookings Institution. Un commentaire de notre observateur Petr Iskenderov.

L’autodétermination de la Crimée est la conséquence du chaos, de l’anarchie et du nationalisme à Kiev plutôt que de la pression de la Russie. Le chaos a poussé les gens à rechercher la protection de la Russie dont la Crimée faisait historiquement partie. En ce qui concerne les « régions de l’Est de l’Ukraine » mentionnées par M. Rasmussen, la Russie n’a la moindre intention de s’y ingérer.

Comment le secrétaire général de l’OTAN entend-il « punir » la Russie de ses actes indépendants en vue de défendre ses intérêts nationaux ? Selon Rasmussen, l’une des mesures est déjà appliquée : « Nous avons suspendu les projets d’opération conjointe d’escorte maritime de la mission de destruction des armes chimiques syriennes ». Il s'agit d'une décision forte, qui ne portera pas seulement préjudice à la Russie. Une autre mesure déclarée : l’arrêt des contacts de l’OTAN avec la Russie « au niveau du personnel civil et militaire ». Et enfin une troisième : l’octroi de moyens supplémentaires pour une mission aérienne de « patrouille policière des pays Baltes, des vols de reconnaissance dans l’espace polonais et roumain ». Le secrétaire général de l’OTAN a passé sous silence les projets de coopération de l’alliance avec la Russie. Bruxelles et Washington ne sont guère intéressés à les suspendre. Cela concerne en premier lieu le transit de cargaisons pour les contingents militaires occidentaux en Afghanistan, souligne l’expert militaire Victor Litovkine, chef de la rédaction des nouvelles militaires de l’agence ITAR-TASS :

« La coopération est développée sur plusieurs volets. Ainsi, la Russie a proposé son espace aérien et son territoire pour les vols des avions américains vers les bases au Tadjikistan et en Kirghizie, d’où les Américains transportent leurs contingents et cargaisons en Afghanistan. La Russie fournit aux Etats-Unis et à l’OTAN les données de renseignement sur ce qui se produit en Afghanistan. La Russie instruit les narcopoliciers afghans à ses bases dans la banlieue de Moscou et prête concours sur d’autres volets. »

Au lieu d’essayer de punir la Russie post factum, l’OTAN et d’autres institutions occidentales devraient évaluer des scénarios en Europe et coopérer plus activement en vue de prévenir d’éventuels conflits.

« Je suis toujours convaincu que le maintien d’un ordre mondial stable sur le continent est impossible sans une compréhension mutuelle universelle avec la Russie », a souligné l’ex-chancelier fédéral allemand Gerhard Schröder. L’actuelle administration de l’OTAN n’a compris ni l’un ni l’autre. Et rappellons que l’Alliance est en quête de la candidature d'un homme politique qui remplacerait Rasmussen, dont le mandat expire en juillet prochain …    N


 

 

 

 

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21 mars 2014 5 21 /03 /mars /2014 00:42

L’occupation sioniste n’a jamais été aussi grande en France et de mémoire d’homme, lorsqu’on est soumis à l’occupation ennemie, on se lève et on reprend le contrôle de son pays.

Étaient présents à ce rendez-vous ultra-communautaire en compagnie du traitre à la nation Manuel Valls : Anne Hidalgo, Meyer Habib, Harlem Désir, Hassen Chalghoumi, Claude Goasguen, Roger Cukierman et Bernard-Henri Lévy.

 

 

 

 


 

france afrique: tchad  Idriss Déby véritable "chouchou" des services extérieurs français qui l’ont placé au pouvoir en 1990, s’est imposé comme un partenaire stratégique incontournable de la France.

 

 


  syrie:

 

 

 

 


 

ukraine:

la nouvelle Ukraine !

Le président de la télévision nationale ukrainienne, Alexander Panteleymonov, a passé hier soir un mauvais moment. Des hommes ont investi son bureau et l’ont forcé à signer sa démission. Et ces assaillants sont des membres du parlement. Des députés du parti d’extrême-droite Svoboda, qui reprochent notamment à Alexander Panteleymonov, d’avoir diffusé hier en direct la céremonie de signature par Vladimir Poutine du traité entre la Crimée et la Russie. Le patron de la télévision déjà en fonction.

 

 

 


 

Chebaa/Quneitara : que préparent Hezbollah/Assad contre Israël?
IRIB- c'est le journal sioniste Haaretz qui souligne dans son dernier numéro ,

la surprise de l'Occident de voir Assad et son armée résister à plus de trois ans de guerre acharnée à son encontre : " le raid israélien du 19 mars contre les positions de Damas au Golan est de loin une tentative destinée à mettre un terme à trois an de guerre d'usure , guerre qui a impliqué ces dernières semaines Israël surtout sur son flanc nord. A l'explosion la veille d'une bombe au passage d'une patrouille militaire qui a tué un officier et en a blessé trois autres , Israël n'a pu que rétorquer de la sorte, en bombardant l'est du Golan où Damas possède un centre d'entrainement. en effet la décision de ces frappes est intervenue mardi soir à l'issu de plusieurs heures de discussions entre les commandants de l'armée et les dirigeants politiques . ils ont demandé à ce que des cibles soient visées au coeur du territoire syrien. le ministre Yaalon et le porte parole de l'armée israélienne ont aussitôt accusé le régile syrien d'avoir mené cette attaque . le Hezbollah s'est tu cette fois mais Israël le voit dans cette affaire comme le tireur de ficelles" " pour Israël, les attaques contres les intérêts israéliens au Golan sont en rapport avec les attaques du vendredi dernier dans les fermes de Chebaa. il s'agit d'une opération concertée entre à la fois le régime Assad, le Hezbollah et peut être d'autres miliciens qui vient en réponse au raid d'Israël contre une base du Hezbollah à Békaa fin fevrier. Il semblerait que les récents succès militaires de l'armée syrienne et du Hezbollah contre les terroristes takfiris ait bien remonter le moral d'Assad et de ses alliés!" et Haaretz exprime ensuite l'une des nouvelles craintes qui s'est emparée d'Israël après l'attaque contre une patrouille des militaires sionistes au Golan : " au cours des années, le Hezbollah constamment en bataille contre Israël s'est faitune spécialité dans la conception des bombes artisanales et il semble que les engins explosifs qui ont éclaté au Golan ou qui y ont été découverts , soient l'oeuvre des éléments bien expérimentés". le jourbal évoque les événements de ces derniers jours sur les frontières israélo syriennes, dans des villages sous contrôle de la Syrie ou dans des villages druzes de Al Harmoun : " la politique syrienne d'Israël consiste toujours à éviter une confrontation directe avec l'armée syrienne mais les choses pourront changer puisque la situation sécuritaire change très rapidement sur les frontières du nord d'Israël " Haaretz exprime aussi la surprise qui est celle des pays occidentaux de voir Assad se maintenir toujours en place au terme de trois ans de guerre toue azimuts  : " à ce train, il y a de forte chance que d'autres surprises se produisent à l'avenir et qu'Israël soit pris de court" . en effet le commentaire de Haaretz est bourré d'angoisse et de confusiobn : les bombes aux bordures de la route n'ont jamais été l'arme favorite du Hezbollah. il s'agit surtout de moyens utilisés par les terroristes takfiris en Irak et en Syrie . les takfiris ont-ils décidé de se tourner le dos à Israël?

 


 

Israël, prêt à une 3ème guerre contre le Hezbollah ?

 

IRIB- le commandant en chef du front nord de l'armée israélienne a menacé mercredi le Liban d'une nouvelle guerre !
" La situation sécuritaire est très explosive et fragile sur les frontières avec le Liban. une toute petite étincelle suffira pour déclencher la guerre même si les deux parties n'en voudront pas .  mais il va sans dire qu'en cas d'une nouvelle guerre, Israël va mobiliser toutes ses forces et se tient déjà prêt, a affirmé Yaïr Golan. Ce dernier qui se confiait au Figaro a formulé une hypothèse pour le moins extravagante : " Après avoir renversé Assad,  les jihadistes sunnites viseront Israël ( !!!) " le point de vue cadre très mal toutefois avec la politique officielle du régime d'Israël qui soigne les blessés des Takfiris, envoie armes et munitions à leur destination, les entraine dans ses propres camps militaires . Golan est revenu ensuite à ce qui pourrait être " la troisième guerre d'Israël contre le Hezbollah : " Israël n'en restera pas là aux frappres aériennes . il attaquera le Libia via mer et terre". l'aviation sioniste a bombardé il y a deux jours les positions syriennes au Golan en réponse, a-t-elle dit, d'une attaque  contre une patrouille militaire qui a coûté la vie à un officier sioniste. trois autres militaires ont été blessés. Les sionistes accusent le Hezbollah d'avoir planifié cette attaque puisqu'il voulait "enlever les militaires israéliens" . cependant les takfiris de l'Etat islamique en Irak et au Levant viennent de revendiquer cette attaque. Les israéliens ont revendiqué les frappes du mercredi matin contre les positions de la bataillon 68 , soit l'une des unités de la DCA syriennes. un centre  d'entrainement de l'armée syrienne aurait également été visé . l'armée syrienne a fait état d'un mort , un militaire et de 7 blessés au cours de ces frappes qui ont visé Quneitara. pour les analystes, la concomitance des mises en garde du commandant du front nord sioniste au sujet d'une troisième guerre anti Hezbollah et des propos du mercredi de Netanyahu relatif à une possible guerre unilatérale anti iranienne en 2014 est loin d'être anodine ! Mercredi, le ministre israélien de la Guerre, farouche opposant aux frappes anti iranienne a changé de position , en apportant son soutien à ce que les sites nucléaires iraniens soient pris pour cible en 2014. les sionistes auraient  même octroyé 3 milliards de dollars à cette fin ! Est-ce la possibilité d'un accord définitif Iran USA qui panique à ce point Israël? Toujours est-il que Kerry a appelé au téléphone dans la nuit de mercredi à jeudi Netanyahu pour lui faire part de son mécontentement des propos de Moshé Yaalon. ce dernier dit vouloir se passer des Etats Unis pour attaquer l'Iran .....

 

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19 mars 2014 3 19 /03 /mars /2014 00:15

 

 


 

AL QUAÏDA c'est la CIA

 

 

 

 


Le leader islamiste du Caucase Dokou Oumarov est mort
Le leader islamiste du Caucase Dokou Oumarov est mort

Par La Voix de la Russie | Le chef des islamistes du Caucase avait revendiqué plusieurs attentats sanglants qui ont touché la Russie. Le dernier en date : l’attentat-suicide à l’aéroport Moscou-Domodedovo en janvier 2010.

Le leader de la rébellion armée dans le Caucase, Dokou Oumarov, est mort, a annoncé mardi le site islamiste Kavkazcenter en citant « le commandement de l’Emirat du Caucase », sans donner aucune précision.

Le communiqué ne donne aucune indication sur les circonstances de sa mort.

 


 


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16 mars 2014 7 16 /03 /mars /2014 22:40
Référendum : La Crimée est russe!!
IRIB- Russia Today vient de l'annoncer : le oui à l'annexion de la Crimée à la Russie vient de l'emporter à 93% des voix exprimées!!selon cette information la Maison Blanche a immédiatement réagi à l'annonce du résultat du vote qui s'est pourtant déroulé sous la supervision des observateurs occidentaux : " les Etats Unis ne reconairont pas le rattachement de la Crimée à la Russie et la Russie va payer le prix de son intervention militaire en Crimée" " le temps où les Etats occupaient d'autres Etats ( ndlr : la mémoire d'Obama est bien courte :Irak..Afghanistan..)sans provouer aucune réaction est bel et bien révolu" a menacé la Maison Blanche.

UKRAINE. Après la Crimée, Odessa et Donetsk veulent aussi se rallier à la Russie

Le temps est compté pour l’Empire. Il croyait que la déstabilisation de l’Ukraine allait servir ses intérêts. Hélas, les choses se compliquent sérieusement. De fait, et c’est un mouvement inéluctable malgré la pleurnicherie de l’autoproclamée "communauté internationale", à savoir Obama et ses amis, la Crimée est russe. Pire, l’est de l’Ukraine s’enflamme et des villes comme Donetsk ou Odessa commencent à réclamer leur ralliement à la Russie.  

Guennadi Ziouganov, le Secrétaire-général du Parti communiste de la Fédération de Russie, après la connaissance des résultats sortis des urnes -un raz de marées des pro-russes avec 95%-, a eu ces mots:

"Le référendum en Crimée est une victoire du bon sens, de la volonté et du courage de ceux qui l’ont organisé (…) Le référendum en Crimée est un exemple pour d’autres régions d’Ukraine."

La requête officielle d’adhésion à la Russie sera présentée lundi après l’énoncé des résultats officiels du référendum sur le statut de la Crimée, a fait savoir le vice-premier ministre criméen Roustam Temirgaliëv. C’est à la Russie d’accepter ou de refuser. L’issue est connue.

A Odessa, selon le journaliste Alexandre Sivov, un  meeting, organisé par les anti-Maidan a rassemblé, à 14h00,  heure locale, entre 20 et 30 mille personnes. C’est le plus grand rassemblement auquel il assiste depuis qu’il est né, lui, habitant de Donetsk.Il ajoute que les précédentes manifestations ne rassemblaient qu’entre 7 et 10 mille personnes. Dans la foule, beaucoup de jeunes et, malgré le froid et des vents violents, les gens étaient présents. Toute cette foule brandissait des drapeaux russes, appuyant le mouvement de la Crimée. Pour lui, il y a des risques car, le comportement de la foule pro-russe à Odessa devient chaque jour de plus en plus agressif. Désormais, la foule crie: Russie, Berkut, Référendum !

 

 

Quant à Donetsk, les photos en dessous parlent d’elles-mêmes.

Regardez:

vox populi, vox Dei ! Mais, les esprits chagrins vous diront que c’est la Russie !

 


  RFI

Ukraine: «La Crimée a tout à gagner en se tournant vers la Russie»
media Contrôle d'un passeport ukrainien lors d'un scrutin référendaire de Crimée, le 16 mars 2014 à Simferopol REUTERS/Vasily Fedosenko

Quelles seraient les conséquences d'un rattachement de la Crimée à la Fédération de Russie sur le plan diplomatique, économique ou encore géopolitique ? Alors que les habitants de cette presqu'île de sud-est de l'Ukraine sont invités, ce dimanche 16 mars, à se prononcer sur l'avenir de leur territoire, RFI en parle avec Philippe Migault, directeur de recherche à l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS).

RFI : Les Occidentaux jugent illégal le référendum de ce dimanche sur le rattachement de la péninsule ukrainienne de Crimée à la Russie. François Hollande dénonce une « pseudo consultation » ; Angela Merkel a parlé d’annexion. La Russie affirme pourtant que ce scrutin est absolument conforme au droit international et à la charte de l’ONU. Qui a raison, et qui a tort ?

Philippe Migault : Je ne suis pas spécialiste en droit international, donc je me garderai bien de me prononcer de manière précise sur ce sujet. Mais ce qui est sûr, c’est que du point de vue des principes, on se réclame dans cette affaire de deux dogmes fondamentaux des relations internationales. Le premier dogme parle du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes ; le second parle de l’intangibilité des frontières. On a donc deux logiques qui s’affrontent, les uns et les autres s’appuyant sur la logique qui leur convient le mieux. Et dans ce cadre, aussi bien d’un point de vue que de l’autre, on peut considérer que ce référendum est légal. Maintenant, pour autant que je maîtrise les arcanes du droit international, du strict point de vue du droit, non, ce référendum n’est pas légal, parce qu’il n’est pas organisé dans les chambres requises.

Lorsque le pouvoir a basculé à Kiev, plusieurs spécialistes de l’Ukraine ou de la Russie ont déclaré sur l'antenne de RFI qu'ils ne croyaient pas à une possible partition de l’Ukraine. Compte tenu de l'évolution de la situation, qui semble les contredire, faut-il s’attendre selon vous à un effet « boule de neige » dans les anciennes républiques soviétiques ?

Je n’en suis pas du tout convaincu. D’une part parce que les anciennes républiques soviétiques éventuellement concernées ont déjà plus ou moins réglé le problème. L’Estonie, par exemple, est membre de l’Union européenne, membre de l’Otan. Elle a une grosse minorité russe sur son sol, certes - on peut d'ailleurs en dire autant de la Lettonie ou de la Lituanie - mais elle ne peut pas faire l’objet d’un tel processus, dans la mesure où bien entendu, étant membre de l’UE et du Traité atlantique, le cadre juridique, le cadre international, n’est pas tout à fait le même.

Ça les protège en quelque sorte ?

Absolument. En ce qui concerne en revanche la Moldavie, il y a déjà un processus engagé en Transnistrie, avec des personnes qui veulent prendre leur indépendance, faire sécession de la Moldavie et qui appellent d’ores et déjà Moscou à l'aide. Et cela depuis les années 1990 déjà.

Les Occidentaux devraient décider cette semaine de sanctions à l’égard de Moscou. La Russie a promis la réciprocité. Selon vous, par rapport aux échanges commerciaux, qui aurait le plus à perdre ?

Je crois que le problème, c’est que dans l’affaire, tout le monde a quelque chose à perdre. Les Etats-Unis en parlent un peu à leur aise, dans la mesure où si l’Europe décidait demain de geler ses achats de gaz en Russie, ils pourraient toujours essayer de nous vendre leur gaz de schiste à partir de 2017. Ça ferait tout à fait leur affaire ! Pour autant, ça ne ferait pas la nôtre. Et si on regarde au sein de l’Union européenne, l’impact qu’aurait une rupture économique avec la Russie serait considérable. Je rappelle qu’en Allemagne, vous avez 300 000 emplois directement induits par les échanges commerciaux avec la Russie, et que ces derniers, en Allemagne, représentent quand même 80 milliards d’euros d’échanges par an. C’est tout à fait considérable.

En Italie aussi, vous avez des échanges tout à fait importants avec la Russie. Et puis, bien entendu, c'est aussi le cas en France... Si on regarde par ailleurs les avoirs des banques investis par les Occidentaux en Russie - l’agence Bloomberg a souligné récemment que les banques françaises ont quand même investi 50 milliards de dollars en Russie et que les banques américaines en ont investi 35 - bien entendu, ces banques seraient tout de suite touchées par l’effet « boomerang » si des sanctions trop importantes étaient prises vis-à-vis de la Russie. Enfin, il ne faut pas oublier que la Russie a quand même un certain nombre d’atouts économiques à faire valoir, un certain nombre de points forts qui lui permettent d’affronter la crise, du moins pour un certain temps.

En supposant qu’il y ait une réelle volonté politique des Occidentaux, quels types de sanctions pourraient être vraiment efficaces pour infléchir la position russe ?

Dans la lignée de ce que je viens de dire, je pense que même s’il y avait volonté politique, on ne commande pas aux marchés. François Hollande a dit que son ennemi était la finance, mais il n’a jamais réussi à imposer quoi que ce soit aux financiers. Et les entreprises qui commercent avec la Russie, à moins qu’elles fassent l’objet d’une loi comme la loi concernant l’Iran leur interdisant de commercer en Russie, continueront à commercer avec la Russie. Donc, très clairement, on ne peut pas décider d’un trait de plume de forcer des entreprises à partir du marché russe. Alors quelles sanctions pourraient fonctionner ? Les plus radicales seraient bien entendu de couper tout échange avec la Russie, comme nous l’avons fait à une époque avec l’Afrique du Sud ou avec l’Iran. Simplement, la Russie n’est pas l’Afrique du Sud et la Russie ce n’est pas l’Iran. Nous avons un besoin crucial de l’approvisionnement russe pour notre énergie, et nous ne pouvons pas nous permettre de prendre des mesures aussi radicales.

Pour revenir à la Crimée, cette région un peu plus petite que la Belgique et peuplée de deux millions d’habitants, quelles vont être les conséquences économiques sur place si le rattachement à la Russie se concrétise ?

Il est bien évident qu’à partir du moment où vous changez de cadre législatif, administratif, juridique, vous avez toujours une phase de chaos. Vous avez toujours une phase où il faut qu’une administration soit remplacée par une autre, et tout cela prend toujours du temps. Pour autant, il faut regarder un tout petit peu ce que perdent les Criméens et ce qu’ils gagnent. Vous avez une Ukraine totalement ruinée, qui est au bord de la cessation de paiement. S’ils devaient demain être intégrés à la Russie, les habitants de Crimée seraient intégrés à un Etat qui n’a pas de dette publique, qui n’a pas de dette extérieure, qui a une balance commerciale excédentaire chaque année de 170 à 200 milliards de dollars, et qui a les quatrièmes réserves de change mondiales. Donc, très clairement, d’un point de vue économique, la Crimée a tout à gagner en se tournant vers la Russie.


 

  à kiev des terroristes ont vous dit!!!

Ukraine : Iaroch menace de détruire le gazoduc vers l’Europe
IRIB-Le chef du mouvement radical ukrainien Praviy Sektor (extrême droite) 

Dmitri Iaroch a déclaré que son organisation dans le cas d'un conflit potentiel avec la Russie, la priverait de la possibilité de gagner de l'argent en vendant du pétrole et du gaz, en détruisant les infrastructures.Selon les autorités de Crimée, les incidents ont été déjà enregistrés dans le système de transport de gaz. Un groupe de personnes qui se présentaient le personnel du Service des gardes-frontière de l'Ukraine a essayé d'endommager le gazoduc en Crimée, mais les forces d'auto-défense ont empêché cette diversion.


syrie

Yabroud/Erssal : Assad écrase les "rats" sous les bombes!
IRIB-selon Al Mayadin, l'armée arabe syrienne a frappé les terroristes en fuite de Yabroud

qui empruntent la route Falita -Erssal pour se réfugier au Liban. les avions syriens ont mené cinq raids aériens contre les takfiris qui tentent de franchir les frontières et d'entrer à Erssal . ils ont pour la plupart combattu à Qusseir.

 


 

 


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